Métal-métal
- Adjectif invariant en genre et en nombre
Définition
- en chimie, relatif à une liaison entre deux atomes de métal
"métal-métal" dans l'encyclopédie
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MÉTAUX Métaux alcalins
- Écrit par Jean PERROTEY
- 16 621 mots
- 5 médias
Les métaux alcalins – lithium, sodium, potassium, rubidium, césium et francium – constituent les éléments de la première colonne du tableau de classification périodique. Ils doivent leur nom à la propriété qu'ils ont de donner avec l'eau des bases fortes, ou « alcalis ». Cette famille chimique est particulièrement homogène ; les propriétés des différents métaux varient peu de l'un à l'autre, et toujours dans le même sens, lorsqu'on passe du plus léger au plus lourd.
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MÉTAUX Métaux de transition
- Écrit par André CASALOT
- 11 619 mots
- 3 médias
Les cinquante-six éléments chimiques dits de transition actuellement connus comportent tous, soit à l'état d'élément simple, soit dans un état oxydé stable, une sous-couche électronique d ou f partiellement remplie. L'existence de niveaux profonds incomplets leur confère des propriétés voisines. À l'état de corps simples, ils se caractérisent par un haut point de fusion et une densité élevée.
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MÉTAUX Métaux alcalino-terreux
- Écrit par Jean PERROTEY
- 14 182 mots
- 3 médias
Les métaux alcalino-terreux constituent la deuxième colonne du tableau de classification périodique des éléments. On peut distinguer les alcalino-terreux vrais – calcium, strontium, baryum, radium – et deux éléments plus légers – béryllium et magnésium –, qui présentent des particularités propres.Ce double nom d'alcalino-terreux trouve son origine dans les propriétés des oxydes, qui furent les premiers connus : infusibles et sans éclat métallique, ce sont des « terres » comme l'alumine, mais leur caractère fortement basique les rapproche aussi des bases alcalines.
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COORDINATION (chimie) Chimie de coordination
- Écrit par René POILBLANC
- 21 976 mots
- 12 médias
Cette tendance est respectée par les métaux de nombre atomique impair, qui forment dès lors des complexes dinucléaires à liaison métal-métal, tels Co2(CO)8 et Mn2(CO)10. De telles structures polynucléaires sont propices à l'établissement de pontages assurés par les groupements CO entre atomes métalliques. À partir des métaux carbonyles, il est possible, dans de nombreux cas, d'obtenir par diverses méthodes des anions carbonylates, tels Co(CO)-4, Fe(CO)42- ou bien encore, à partir de Cr(CO)6, Cr2(CO)102- .
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COMPLEXES, chimie
- Écrit par René-Antoine PARIS et Jean-Pierre SCHARFF
- 23 675 mots
- 5 médias
Il peut y avoir une ou des liaison(s) métal-métal ou un pontage des ions métalliques par les coordinats comme dans l'ion hexaamino-μ-amido-μ-dihydroxodicobalt (III). Un cas très intéressant concerne les clusters, qui sont des molécules où chaque atome métallique est directement lié à au moins deux autres atomes métalliques. Le cas le plus simple des clusters moléculaires est le triosmiumdodécacarbonyle Os3(CO)12.