Météorologue

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• LE MÉTÉOROLOGUE (O. Rolin) Fiche de lecture

  • Écrit par Norbert CZARNY
  • 7 327 mots

  Le Météorologue est un livre « russe » : Rolin écrit avec tout son amour pour l’espace de ce pays-continent, et pour son histoire si douloureuse, en partage.

• LORENZ EDWARD (1917-2008)

  • Écrit par Bernard PIRE
  • 3 402 mots

  Connu comme le père de « l'effet papillon », le météorologue américain Edward Lorenz est né à West Hartford, dans le Connecticut, le 23 mai 1917. Lorenz accomplit des études universitaires en mathématiques au Dartmouth College à Hanover dans le New Hampshire, puis à l'université d'Harvard avant de s'orienter vers un mastère en météorologie au Massachusetts Institute of Technology (M.

• HISTOIRE DES BASSINS OCÉANIQUES (H. H. Hess)

  • Écrit par Yves GAUTIER
  • 1 456 mots

  Hess réhabilitait ainsi la théorie de la dérive des continents, proposée par le météorologue allemand Alfred Wegener cinquante ans plus tôt et jusqu'alors fortement contestée car il lui manquait un élément important : le moteur de la dérive des continents. Peu de temps après, Robert Sinclair Dietz reprend la théorie de Hess et lui donne le nom d'« expansion des fonds océaniques » (seafloor spreading), en y ajoutant une notion importante : le « tapis roulant » ne se limite pas à la croûte océanique ; d'une épaisseur plus importante, il comprend aussi une partie du manteau supérieur, que Dietz nomme lithosphère.

• WATSON-WATT sir ROBERT ALEXANDER (1892-1973)

  • Écrit par Pierre GOUJON
  • 1 672 mots
  • 2 médias

  Andrews, Watson-Watt entreprend une carrière de météorologue, puis il occupe de 1915 à 1952 différents postes dans l'administration britannique : services météorologiques, département de la recherche scientifique et industrielle, ministère de l'Air. En 1934, le ministère de l'Air crée une commission chargée d'étudier les moyens de détection des avions à l'aide d'ondes radio.

• WILSON CHARLES THOMSON REES (1869-1959)

  • Écrit par Bernard PIRE
  • 1 795 mots

  Météorologue à l'Observatoire de physique solaire de Cambridge, il y étudia l'électricité atmosphérique. De 1900 à sa retraite, il occupa divers postes de professeur et de chercheur à Cambridge. En 1911, Wilson fut le premier à photographier la trace des rayonnements α et β. Les progrès qu'il fit accomplir à sa chambre amenèrent celle-ci à une sorte de perfection en 1923 ; elle fut alors abondamment utilisée par les physiciens : Patrick Blackett à Cambridge, Irène Curie à Paris, Arthur Compton, Carl Anderson, John Cockroft, Ernest Walton.