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Métaphyse

  • Nom féminin singulier

Définition

  1. en anatomie, partie d'un os long située entre la diaphyse et l'épiphyse

"métaphyse" dans l'encyclopédie

  • MÉTAPHYSIQUE

    • Écrit par Ferdinand ALQUIÉ
    • 51 665 mots
    • 1 média

    À la physique, qui étudie la nature, on oppose souvent la métaphysique. Celle-ci est définie soit comme la science des réalités qui ne tombent pas sous le sens, des êtres immatériels et invisibles (ainsi l'âme et Dieu), soit comme la connaissance de ce que les choses sont en elles-mêmes, par opposition aux apparences qu'elles présentent. Dans les deux cas, la métaphysique porte sur ce qui est au-delà de la nature, de la ϕ́υσις, ou, si l'on préfère, du monde tel qu'il nous est donné, et tel que les sciences positives le conçoivent et l'étudient.

  • MÉTAPHYSIQUES POÈTES

    • Écrit par Robert ELLRODT
    • 16 845 mots
    • 1 média

    La poésie « métaphysique » anglaise, contemporaine et proche parente de la poésie que l'on dit baroque sur le Continent, est-elle une école – l'école de Donne –, un style, un ordre esthétique, un mode de sensibilité, un moment de l'histoire littéraire ou une catégorie universelle ? Le critique soucieux de précision en définira l'esprit dominant, les formes distinctives, sans rechercher une classification rigide.

  • PEINTURE MÉTAPHYSIQUE

    • Écrit par Charles SALA
    • 12 252 mots

    La peinture métaphysique n'est attachée ni à un mouvement ni à une école : elle n'obéit pas à une doctrine. Elle est cependant liée à un groupe très restreint de peintres qui, entre 1910 et 1920, ont refusé d'axer leurs œuvres sur l'unique recherche formelle que proposaient les avant-gardes. Pas de mouvement donc, car la peinture métaphysique, définie comme telle par son fondateur, n'a jamais eu que trois véritables représentants.

  • MÉDITATIONS MÉTAPHYSIQUES, René Descartes Fiche de lecture

    • Écrit par François TRÉMOLIÈRES
    • 5 413 mots

    Les Méditations métaphysiques (Meditationes de prima philosophia, 1641) sont la première œuvre proprement philosophique de Descartes (1596-1650), et d'ailleurs le premier ouvrage publié sous son nom. Alors que le Discours de la méthode (1637) garde un caractère de circonstance, ne se voulant que le préliminaire à des essais scientifiques, et que les Principes de la philosophie (1644) offrent un exposé délibérément scolaire de vérités déjà démontrées, les Méditations exigent de leur lecteur qu'il participe à une expérience de pensée, refaisant pour son propre compte le chemin de la découverte.

  • FONDEMENTS DE LA MÉTAPHYSIQUE DES MŒURS, Emmanuel Kant Fiche de lecture

    • Écrit par François TRÉMOLIÈRES
    • 4 728 mots

    En 1781, la Critique de la raison pure d'Emmanuel Kant (1724-1804) marquait nettement la différence de statut entre les sciences exactes et les sciences humaines. Elle soulignait aussi que toute science se décompose en connaissance a priori (ce que Kant appelle, en un sens technique, « métaphysique ») et connaissance empirique. Les mœurs, c'est-à-dire l'ensemble des activités humaines, relèvent de sciences particulières (économiques, politiques, juridiques, et plus largement – le terme s'impose précisément à la fin du xviiie siècle – anthropologiques) qui toutes supposent une « métaphysique des mœurs ».

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