Mab
- Nom féminin singulier
Définition
- (vieilli) reine dans les contes anglais
"mab" dans l'encyclopédie
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MAB (Man and the Biosphère) PROGRAMME
- Écrit par Didier BABIN
- 6 690 mots
- 1 média
L’UNESCO a lancé en 1971 le programme intergouvernemental MAB (Man and the Biosphere – L’homme et la biosphère) dont l’objectif est d’établir une base scientifique pour améliorer les relations homme-nature au niveau mondial. Il a ainsi esquissé les bases de ce qu’on appelle désormais le « développement durable » à travers un programme scientifique, puis par la mise en place d’un réseau mondial de réserves de biosphère dont les premières ont vu le jour en 1976.
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MANANNAN
- Écrit par Christian-Joseph GUYONVARC'H
- 1 954 mots
Il est dit mac Lir, « fils de Ler » (« Océan »), et il a un correspondant exact dans le Gallois Manawyddan mab Llyr. Mais il n'est pas une divinité marine comparable à Neptune : c'est parce qu'il est plus particulièrement le dieu de l'Autre Monde qu'il a une résidence maritime. Le sid est, en effet, localisé dans des îles mythiques au-delà de l'océan.
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BARNET CHARLIE (1913-1991)
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 2 778 mots
Surnommé « Mad Mab », Barnet est l'un des personnages les plus hauts en couleur de l'époque des big bands : il se serait marié au moins six fois (certaines sources évoquent onze mariages). Il est également l'un des premiers chefs blancs à intégrer dans son orchestre, dès le début des années 1940, des solistes ou des chanteurs noirs : Lena Horne, Al Killian, Howard McGhee, Roy Eldridge, Trummy Young, Charlie Shavers, Oscar Pettiford, Frankie Newton.
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HARPE, en bref
- Écrit par Juliette GARRIGUES
- 5 640 mots
- 5 médias
Berlioz réhabilite la harpe et lui confie un rôle particulièrement important dans la Symphonie fantastique (1830), notamment dans le deuxième mouvement, « Un bal », par l'emploi mélodique des harpes en accords parallèles ; il recourt aussi à la harpe dans Harold en Italie (1834) et Roméo et Juliette (scherzo de « La Reine Mab, ou la Fée des songes », 1839).
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SHELLEY PERCY BYSSHE (1792-1822)
- Écrit par Henri PEYRE
- 18 727 mots
- 1 média
Il avait publié en 1813 un poème, La Reine Mab (Queen Mab), hâtif et juvénile, mais renfermant déjà de grandes beautés. En 1816 paraissait son premier chef-d'œuvre, Alastor or the Spirit of Solitude, poème écrit en vers blancs, tout imprégné d'un ardent amour de la nature qui rappelle Wordsworth, et du pessimisme qui résulte d'une aspiration idéaliste vers un amour impossible.