Madi
- Nom masculin singulier
Définition
- en botanique, plante de la famille des composacées, dont on extrait une huile
"madi" dans l'encyclopédie
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PAPE LYGIA (1929-2004)
- Écrit par Thierry DUFRÊNE
- 5 018 mots
Buenos Aires, Rio de Janeiro et São Paulo sont touchées à leur tour ; de grands artistes apparaissent, tels les Argentins Rhod Rothfuss ou Gyule Kosice, et des groupes se forment, comme en 1945 Arte Concreto-Invencíon et en 1946 Madí, avec Carmelo Arden Quin. Le lien avec l'Europe demeure, spécialement avec l'art concret zurichois, comme en témoigne, en 1950, une exposition décisive de Max Bill au Museu de Arte de São Paulo.
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OPTIQUE ET CINÉTIQUE ART
- Écrit par Arnauld PIERRE
- 25 454 mots
- 2 médias
» Ces idées étaient alors partagées par les représentants du mouvement Madí et par l'un de ses créateurs, Carmelo Arden Quin, auteur du manifeste El Movil, publié en 1945. Avec Gyula Kosice et Rhod Rothfuss, il avait créé (dès cette date) des objets manipulables, les Coplanals. Il implante ensuite, à partir de 1948, une branche française de Madí qui se manifeste à plusieurs reprises au Salon des réalités nouvelles et dans les galeries Suzanne Michel et Colette Allendy.
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PERSE Vue d'ensemble
- Écrit par Henry CORBIN
- 15 122 mots
Fondamentale pour la conception mazdéenne du monde et de l'homme, cette Lumière de Gloire est d'autre part identifiée avec la « Lumière moḥammadienne » (Nūr moḥam-madī), dont la notion est essentielle pour la prophétologie et l'imamologie du shī‘isme. Sohrawardī interprète le dualisme mazdéen en termes d'être et de non-être, de positivité et de négativité.
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COPTES
- Écrit par Pierre DU BOURGUET et Hervé LEGRAND
- 38 336 mots
- 2 médias
L'ensemble le plus ancien des textes manichéens est également une version copte du ive siècle sur papyrus, sans doute traduite du syriaque, trouvée en 1930 à Médinet Mâdi dans le Fayoum. L'importance de ces deux séries d'écrits dans le mouvement des idées de l'époque, auquel n'échappe point l'Égypte, est comparable à celle des manuscrits de la mer Morte.
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MANICHÉISME
- Écrit par Henri-Charles PUECH
- 84 093 mots
- 1 média
Le manichéisme avait, cependant, trop fortement pris pied dans le pays pour succomber sous ce coup : nombre de chrétiens égyptiens ne pouvaient être que sensibles à une doctrine qui présentait tant d'affinités avec la gnose et avec l'encratisme, et, comme le prouve, entre autres témoignages, la masse considérable des écrits manichéens mis au jour près de Medînet Mâdi et traduits ou adaptés en copte dans la première moitié du ive siècle, « la sainte Église » a continué pendant longtemps encore d'affirmer sa présence et d'exercer son activité dans toute la vallée du Nil.