Magnificat
- Nom masculin invariant en nombre
Définition
- en religion, cantique à la Vierge Marie chanté aux vêpres
- en musique, musique composée sur ce cantique
- en religion, moment des vêpres où l'on chante ce cantique
"magnificat" dans l'encyclopédie
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MAGNIFICAT
- Écrit par Edith WEBER
- 3 901 mots
Le magnificat est un cantique liturgique chanté quotidiennement à l'office des vêpres, sur le texte latin Magnificat anima mea Dominum... (Mon âme exalte le Seigneur...) d'après l'évangile de saint Luc (i, 46 à 55). Il s'agit du cantique de la Vierge Marie Canticum beatae Mariae Virginis quod vulgo Magnificat inscribitur ou Canticum der Vesper en Allemagne.
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AICHINGER GREGOR (1564 ou 1565-1628)
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 1 197 mots
Sa musique, essentiellement vocale et religieuse, manifeste l'influence des maîtres de l'école vénitienne, en particulier celle de Giovanni Gabrieli, dont il avait été l'élève à Venise ; elle couvre tous les genres de la musique d'église : messes, vêpres, madrigaux, sacrae cantiones, magnificat, concerts spirituels... Ses motets, célèbres en leur temps, figurent dans de nombreux recueils contemporains.
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GUERRERO FRANCISCO (1525 env.-1599)
- Écrit par Pierre-Paul LACAS
- 1 525 mots
Ses compositions comprennent notamment dix-huit messes, deux requiem, des psaumes, des magnificat, deux passions (selon saint Matthieu et selon saint Jean) à la manière espagnole, traitées en motets polyphoniques, cent quatre motets latins (de quatre à huit voix), des chants sacrés en espagnol (Canciones y villanescas espirituales, 1589, de trois à cinq voix).
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ANIMUCCIA GIOVANNI (1500 env.-1571)
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 1 487 mots
Parmi ses œuvres, qui ont peut-être influencé Palestrina, figurent plusieurs livres de madrigaux profanes, des messes, des magnificat, des madrigaux spirituels et des laudes spirituelles.
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TITELOUZE JEHAN (1562 ou 1563-1633)
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 1 527 mots
Le plus important ouvrage de Titelouze, Hymnes de l'église pour toucher sur l'orgue, avec les fugues et recherches sur leur plain-chant (Pierre Ballard, Paris, 1623), est suivi en 1626, toujours chez Ballard, par un recueil portant le titre Magnificat, ou Cantique de la Vierge pour toucher sur l'orgue suivant les huit tons de l'église. Ses messes ont été perdues.