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Majorum

Définition

  1. dans l'expression latine "more majorum ", d'après la coutume des ancêtres

"majorum" dans l'encyclopédie

  • JEAN XXI, PIERRE D'ESPAGNE (1220?-1277) pape (1276-1277)

    • Écrit par Denis COUTAGNE
    • 2 423 mots

    Il écrivit des Syncategoremata et un Traité des principaux sophismes (Tractatus majorum fallaciarum). Mais son ouvrage le plus important est un manuel de logique, les Summulae logicales, qui resta jusqu'à la fin du Moyen Âge un des textes officiels de la faculté des arts et qui fut cité ou édité par les maîtres de toutes tendances jusqu'au début du xvie siècle.

  • ORATEURS ET HISTORIENS, Antiquité gréco-romaine

    • Écrit par François HARTOG
    • 14 165 mots

    Rome non plus, où l'importance du mos majorum conférait à la démarche encore un surcroît d'autorité. Dans la cité hellénistique et romaine, cette éloquence historique fonctionne d'autant mieux que, ainsi que le note Plutarque, « la fortune n'a laissé aucun enjeu à nos luttes », expression homérique signifiant littéralement « aucun prix du combat déposé au milieu du cercle des guerriers ».

  • CARTHAGE

    • Écrit par Abdel Majid ENNABLI, Liliane ENNABLI, Gilbert-Charles PICARD et Encyclopædia Universalis
    • 54 122 mots
    • 5 médias

    Les autres basiliques évoquées sont : Basilica ad majores ou majorum, Basilica novarum, basilique de Faustus, Basilica Restituta, Basilica Honoriana, basilique de la deuxième région, Basilica Theoprepia, Basilica Celerinae vel Scillitanorum, Basilica Sancti Petri de la troisième région, Basilica Gratiani, Basilica Theodosiana, basilique des Tertullianistes, basilique de Saint-Agilée, basilique de Sainte-Prime, basilique de Saint-Julien (avec son martyrium), basilique de Saint-Paul de la sixième région, basilique près de l'agora, basilique de la Theotokos, qui est sans doute la même que celle qui est consacrée à sainte Marie par les Ariens.

  • MŒURS

    • Écrit par François BOURRICAUD
    • 44 045 mots
    • 1 média

    Chez les Latins, on opposait à la corruption moderne les mœurs des ancêtres : « mos majorum ». Au contraire, dans la perspective évolutionniste qui a longtemps prévalu en raison du prestige attaché à l'idée de progrès, les mœurs des peuples civilisés sont censées plus raffinées, plus « humaines », que celles, grossières ou barbares, de l'ancien temps.

  • DROIT Théorie et philosophie

    • Écrit par Jean DABIN
    • 110 352 mots
    • 2 médias

    Le principal avantage de la coutume est qu'elle coïncide avec le sentiment populaire, ce qui est un gage de succès ; mais elle n'a pas la souplesse que souvent on lui attribue : la mos majorum est souvent vétuste ; de plus, la preuve en est difficile dans l'un et l'autre de ses éléments. La coutume l'emporte-t-elle sur la loi ? Si tout le monde accorde que la loi peut abroger la coutume, la question est discutée de savoir si la coutume contraire peut abolir la loi.

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