Malonique
- Adjectif singulier invariant en genre
Définition
- en chimie, se dit d'un diacide résultant de l'oxydation de l'acide malique
"malonique" dans l'encyclopédie
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MALONE MOSES (1955- )
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 2 474 mots
Le basketteur américain Moses Malone fut l'un des meilleurs pivots de la National Basketball Association (N.B.A.) dans les années 1980. Efficace au rebond comme au tir, il remporta le Championnat de la N.B.A. en 1983 avec les Philadelphia 76ers. Né le 23 mars 1955 à Petersburg, en Virginie, Moses Eugene Malone est la star de l'équipe de basket-ball de son lycée, laquelle remporte cinquante victoires consécutives.
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MALON BENOÎT (1841-1893)
- Écrit par Paul CLAUDEL
- 3 296 mots
Benoît Malon se livre à une critique radicale du système représentatif : seule vaut « la législation directe par le peuple » rassemblé en communes (de 5 000 habitants au minimum, précise-t-il), l'État ne jouant qu'un rôle de coordination.
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VÉRONAL
- Écrit par François CHAST
- 1 180 mots
C'est, dit-on, le jour de la Sainte-Barbara que le chimiste allemand Adolf von Baeyer synthétisa, en 1864, la « malonylurée », plus tard dénommée « acide barbiturique », résultant de la condensation de l'acide malonique et de l'urée. Le chimiste aurait essayé la substance sur lui-même sans noter le moindre effet. D'autres dérivés furent donc recherchés.
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KREBS HANS ADOLF (1900-1981)
- Écrit par Paul MAZLIAK
- 5 296 mots
) stimulent les processus dégradatifs dans les tissus ; – que l'acide malonique (inhibiteur connu de la succino-deshydrogénase) arrête le catabolisme dégradatif ; – que l'acide oxalo-acétique lève l'inhibition provoquée par le malonate. Ces faits lui suggèrent l'existence d'un cycle fermé (analogue au cycle de l'urée) pour la dégradation respiratoire de l'acide pyruvique.
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CARBOXYLIQUES ACIDES
- Écrit par Jacques METZGER
- 30 275 mots
- 6 médias
La synthèse malonique est également une méthode très générale pour introduire, sur une chaîne alkyle ou aryle, un groupement —CH2CO2H. Le malonate d'éthyle est transformé en carbanion par une base forte comme l'éthylate, ou, mieux, l'amidure de sodium. L' halogénure d'alkyle ou d'aryle est condensé sur ce carbanion et conduit à l'alkyl- ou aryl-malonate d'éthyle.