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Mandarin

  • Nom masculin singulier

Définition

  1. dans l'empire chinois, titre donné à des fonctionnaires civils ou militaires
  2. péjorativement, personne influente dans les milieux universitaires ou intellectuels
  3. chinois littéraire, langue officielle de la Chine
  4. en zoologie, espèce de canard
  5. apéritif à l'extrait de mandarin e

"mandarin" dans l'encyclopédie

  • MANDARINS

    • Écrit par ETIEMBLE
    • 20 619 mots
    • 1 média

    Si l'on se veut indulgent ou ironique, on parle de « mandarin subtil ». Ainsi Félix Fénéon, croquant comme elle le mérite l'auteur du Livre de jade, Judith Gautier : « Princesse chinoise, élevée par de subtils mandarins à boutons de malachite. » Ainsi, plus près de nous, Pierre Boutang quand il égratigne ce « mandarin subtil » d'Etiemble, mandarin fatalement puisqu'il a étudié du chinois et qu'il se réfère quand il le faut à Confucius.

  • HAKKA

    • Écrit par Encyclopædia Universalis
    • 1 851 mots

    Leur langue a des points communs à la fois avec le cantonais, langue des gens de la province de Guangdong, et le mandarin, parlé dans une grande partie de la Chine du Nord et de la Chine centrale ; beaucoup des sons fondamentaux de la langue hakka forment un trait d'union entre les deux dialectes. Peuple travailleur et ingénieux, les Hakka ont tendance à vivre entre eux en milieu fermé.

  • SINO-TIBÉTAINES LANGUES

    • Écrit par Maurice COYAUD
    • 8 474 mots

    Quant au suffixe -s, si l'on suit l'hypothèse d'Haudricourt, assez largement admise actuellement, il faut noter que le ton descendant du mandarin actuel n'indique pas seulement une opération de nominalisation, comme l'exemple donné plus haut pourrait le laisser croire ; il aurait aussi valeur de causatif, comme on peut le constater en considérant les paires suivantes (chaque morphème chinois est suivi de son ton : le 4e ton du mandarin actuel, ton descendant, représente -s) : La valeur de causatif est moins évidente dans la paire : De même qu'en tibétain classique, il pouvait exister, en chinois archaïque, des alternances vocaliques, comme dans les paires : Karlgren voit aussi une alternance vocalique dans l'opposition entre deux caractères différents pour « je » et « me, moi », respectivement ngo/ngâ (mais Tung reconstruit ngâg/ngâ).

  • KAOHSIUNG

    • Écrit par Encyclopædia Universalis
    • 3 618 mots

    Le site, baptisé en mandarin Dagou (Takou selon la prononciation locale, déformation du nom d’une tribu locale, les Makatao ou Takow), est peuplé depuis la fin de la dynastie Ming (1368-1644). Les Néerlandais, qui occupèrent la région de 1624 à 1660, nommèrent quant à eux l’endroit Tancoia. Le véritable peuplement du site date de la fin du xviie siècle, époque à laquelle il était appelé Chihou.

  • BARTÓK BÉLA (repères chronologiques)

    • Écrit par Alain PÂRIS
    • 4 010 mots

    27 novembre 1926 Le Mandarin merveilleux (A csodálatos mandarin), pantomime en un acte sur un argument du dramaturge hongrois Menyhért Lengyel, est créé à l'Opéra de Cologne sous la direction de Eugen Szenkár. La suite d'orchestre habituellement jouée au concert sera créée à Budapest le 15 octobre 1928 sous la direction d'Ernö Dohnányi. 8 décembre 1926 Bartók crée à Budapest sa seule Sonate pour piano.

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