Maréchaux

"maréchaux" dans l'encyclopédie

• MARÉCHAL DE LA NOBLESSE

  • Écrit par Jean-Louis VAN REGEMORTER
  • 1 876 mots

  Mais certains maréchaux n'hésitèrent pas à prendre des initiatives politiques lors des discussions préparatoires à l'abolition du servage ; Ounkovski, maréchal de Tver, fut même sanctionné pour avoir préconisé l'émancipation immédiate des paysans et l'élection des maréchaux par toutes les catégories de la population ; libéralisme exceptionnel dans son milieu.

• MARÉCHAL SYLVAIN (1750-1803)

  • Écrit par Jean TULARD
  • 2 042 mots

  Occupé à négocier le Concordat, Bonaparte fait interdire la diffusion du Dictionnaire de Maréchal. Celui-ci meurt peu après. Son fanatisme antireligieux a fait oublier qu'il fut aussi un homme de théâtre. Joué en 1793, son Jugement dernier des rois rencontra un grand succès.

• MARÉCHAL MAURICE (1922-2008)

  • Écrit par Encyclopædia Universalis
  • 1 053 mots

  Maurice Maréchal, qui peine à mener de front son métier de professeur de français et d'espagnol à l'Athénée Royal de Verviers, interrompt la série en 1967 et la reprend quinze ans plus tard pour cinq nouvelles aventures dans le journal Spirou. La série a fait l'objet de nombreuses traductions et réimpressions, et a donné lieu à des adaptations sous forme de dessins animés.

• SAXE MAURICE comte de, dit LE MARÉCHAL DE SAXE (1696-1750) maréchal de France

  • Écrit par Louis TRENARD
  • 3 772 mots
  • 1 média

  La reprise des hostilités entre la France et l'Autriche en 1733 le lance sur les champs de bataille aux côtés du maréchal de Berwick (siège de Philipsburg). Pendant la guerre de Succession d'Autriche, il exerce le commandement en Bohême dans l'armée du maréchal de Belle-Isle, prend Prague d'assaut en 1741. Il commande en Bavière et gagne l'absolue confiance de Louis XV.

• MALINOVSKI RODION IAKOVLEVITCH (1898-1967) maréchal soviétique

  • Écrit par Vladimir Claude FISERA
  • 3 061 mots

  Il signe le 31 août l'armistice avec la Roumanie ; à cette occasion, Staline le fait maréchal. Il conduira en 1945 le siège de Budapest, puis celui de Vienne (13 avr.). Enfin, en tant que commandant du front au-delà du Baïkal, il détruit en août l'armée japonaise du Guangdong. Malgré son énorme prestige ou plutôt à cause de lui, il disparaît, ainsi que tous ses pairs, les « nouveaux » maréchaux, des colonnes des journaux et du premier rang lors des réunions solennelles.