Marie-louise
- Nom féminin singulier
Définition
- bordure fixée à l'intérieur d'un cadre
"marie-louise" dans l'encyclopédie
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FULLER MARIE-LOUISE dite LOÏE (1862-1928)
- Écrit par Jane PATRIE
- 868 mots
- 1 média
Marie-Louise Fuller (« la Loïe Fuller ») paraît pour la première fois à Paris aux Folies-Bergère (1892) et enthousiasma le public lors de l'Exposition universelle de 1900 ; elle donna de nombreuses représentations dans le monde entier. Célèbre par sa Danse du lys, sa Danse du feu, sa Danse serpentine, elle utilise pour ses spectacles de longs voiles transparents et la lumière des faisceaux de l'arc électrique pour représenter au public un spectacle féerique ; elle applique les principes d'Appia en ce qui concerne la nudité décorative et la continuité de l'espace avec le public.
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DAMIA MARIE-LOUISE DAMIEN dite (1892-1978)
- Écrit par Lucien RIOUX
- 3 182 mots
Née à Paris, Marie-Louise Damien est d'abord une enfant rebelle, en lutte permanente contre son père, agent de police et homme d'autorité. Après avoir frôlé plusieurs fois la maison de correction, elle s'échappe à quinze ans et, pour gagner sa vie, se retrouve figurante au Châtelet. Bientôt, elle apprend à chanter ; avec un bon maître, l'époux de Fréhel, Roberty.
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MONTPENSIER ANNE MARIE LOUISE D'ORLÉANS duchesse de, dite LA GRANDE MADEMOISELLE (1627-1693)
- Écrit par Jean MEYER
- 1 916 mots
- 1 média
Digne fille de l'éternel conspirateur, du rival velléitaire et malheureux de Richelieu et de Mazarin, Gaston d'Orléans, et de sa première femme, Marie de Bourbon, duchesse de Montpensier. Deux événements, l'un plus romanesque que l'autre, ont dominé la vie de la Grande Mademoiselle. Le 2 juillet 1652, l'armée royale sous le commandement de Turenne est sur le point de battre celle de Condé, quand elle est décimée par le tir des canons de la Bastille.
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URSINS MARIE-ANNE DE LA TRÉMOILLE PRINCESSE DES (1642-1722)
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 1 467 mots
Revenue en France, où elle prend désormais le nom de princesse des Ursins (francisant le nom de son époux défunt), elle contribue à arranger le mariage de Philippe V d'Espagne, petit-fils de Louis XIV, avec Marie-Louise de Savoie. Dès 1701, elle part en Espagne comme Camarera mayor (dame d'honneur) de la nouvelle reine. La princesse prend bientôt l'ascendant sur Marie-Louise, qui, à son tour, dicte sa conduite à Philippe V.
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L'ART DES ACCOUCHEMENTS (J.-L. Baudelocque)
- Écrit par Bruno HALIOUA
- 1 365 mots
Sa notoriété lui valut d'être nommé par Napoléon Ier accoucheur de l'impératrice Marie-Louise, mais il mourut le 2 mai 1810 sans pouvoir procéder à l'accouchement de l'Aiglon, l'année suivante.