Martelé
- Nom masculin singulier
- Adjectif masculin singulier
Définition
- répété à maintes reprises
"martelé" dans l'encyclopédie
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CHARLES MARTEL (688 env.-741)
- Écrit par Robert FOLZ
- 1 874 mots
- 1 média
Fils de Pépin d'Herstal, Charles Martel apparaît dans l'histoire au lendemain de la mort de son père (déc. 714), qui déclencha des troubles violents dans le royaume franc : Neustriens et Aquitains alliés aux Frisons et aux Saxons tentèrent d'abattre la puissance austrasienne. Au bout de six ans, Charles Martel réussit à défaire ses adversaires et à s'imposer avec les titres de maire du palais, duc et prince des Francs, aux côtés du roi mérovingien Thierry IV.
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MARTELLANGE ÉTIENNE ANGE MARTEL dit (1569-1641)
- Écrit par Renée PLOUIN
- 1 768 mots
- 1 média
Le nom de Martellange, qui serait une contraction de Ange-Étienne Martel, était en fait déjà porté par le grand-père de l'architecte. Entré dans la Compagnie de Jésus en 1590, il est envoyé à Rome où il réside jusqu'en 1604. Là, le père Martellange s'initie à l'architecture, et subit l'influence de Vignole. Nommé coadjuteur temporel de la Compagnie, il établit des plans pour de nombreux collèges et églises, dans les différentes provinces de France, travaillant à Sisteron (1605), à Vienne pour Saint-André-le-Haut, à Carpentras, à Lyon (collège et noviciat), à Rennes (église de la Toussaint).
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DINANDERIE
- Écrit par Marie-Cécile FOREST
- 3 521 mots
Au xixe siècle, le nouvel intérêt pour le Moyen Âge et ses techniques remet à l'honneur le métal martelé. Un des premiers essais est le maître-autel de la cathédrale de Clermont-Ferrand réalisé en cuivre martelé sur un dessin d'Eugène Viollet-le-Duc (1814-1879) et présenté à l'Exposition universelle de Paris en 1855. La firme Monduit, fondée en 1861 par Honoré Monduit réhabilite, elle aussi, cette technique.
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PEINTURE CHINOISE (repères chronologiques)
- Écrit par Alain THOTE
- 1 078 mots
Environ — 500-— 450 Premières scènes historiées représentées sur des vases en bronze ou en cuivre martelé. Vers — 433 Peintures du cercueil de la tombe 1 de Leigudun figurant des créatures hybrides postées de part et d'autre de portes et de fenêtres, et censées protéger l'âme du défunt. ive-iiie siècle avant notre ère Premières bannières représentant le défunt dans son ascension vers l'au-delà.
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HÉRÉSIE AMARNIENNE
- Écrit par Renaud DE SPENS
- 1 243 mots
- 1 média
Le nouveau culte exalte Aton, le disque solaire, et exclut les autres dieux, en particulier Amon, le « roi des dieux » devenu le dieu dynastique au Nouvel Empire, dont le nom est martelé sur les monuments. Déjà célébré dans les Textes des pyramides, Aton est en fait lié à la fonction royale dès Thoutmosis IV, pour contribuer à affirmer la nature divine du pharaon.