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Matines

  • Nom féminin pluriel

Définition

  1. en liturgie catholique, premier office qui se dit avant l'aube

"matines" dans l'encyclopédie

  • MATIN SUR LE RIESENGEBIRGE (C. D. Friedrich)

    • Écrit par Barthélémy JOBERT
    • 1 487 mots
    • 1 média

    Matin sur le Riesengebirge (Nationalgalerie-Galerie des peintres romantiques, Berlin), un de ses tout premiers paysages sur toile, est très caractéristique de son art. Friedrich veut exprimer des idées très élevées à l'aide d'un vocabulaire iconographique simple et restreint. La montagne, symbole de la vie terrestre et de la vie éternelle, est rendue avec réalisme, et, quoique peinte complètement en atelier, elle s'inspire étroitement des études que Friedrich avait faites sur le motif, dans les monts de Bohême.

  • PAUL DIACRE PAUL WARNEFRIED dit (720 env.-apr. 787)

    • Écrit par Jean-Pierre BORDIER
    • 1 289 mots

    Il compose sur la demande de Charlemagne un Homéliaire (collection de textes des Pères destinés à être lus à l'office monastique de matines) que l'empereur fait répandre dans toutes ses terres. On lui doit aussi l'une des plus grandes hymnes latines, le Ut queant laxis, en l'honneur de saint Jean-Baptiste.

  • ARMÉNIEN RITE

    • Écrit par Jacques PONS
    • 1 606 mots

    Pour le service du culte, le rite arménien se réfère à des livres tels que le Donatzuitz, qui donne les règles du culte et de la célébration liturgique ; le Badaramaduitz, sacramentaire contenant les prières dites par le prêtre ; le Giashotz, « livre de Sexte », contenant les lectures quotidiennes des Épîtres et de l'Évangile, et le Z'amagirq, livre d'heures contenant les prières et les psaumes des sept offices de la journée, principalement des matines, de prime et des vêpres.

  • COURTRAI DITE DES ÉPERONS D'OR (BATAILLE DE)

    • Écrit par Pascal LE PAUTREMAT
    • 1 662 mots

    À la suite du massacre de soldats français à Bruges (« Mâtines de Bruges » le 18 mai 1302), Philippe IV le Bel dépêche Robert II d'Artois à la tête d'une armée pour secourir la garnison de Courtrai. L'armée française compte alors 6 500 hommes : 2 500 chevaliers, 1 000 arbalétriers et 3 000 autres éléments d'infanterie légère. Face à elle, les Flamands disposent de 9 000 combattants : quelque 400 nobles et une piétaille de milices communales, d'artisans et de paysans.

  • CERTON PIERRE (mort en 1572)

    • Écrit par Pierre-Paul LACAS
    • 1 995 mots

    Il vécut surtout à Paris, d'abord comme clerc des matines (clericus matutinorum) à Notre-Dame (1529), chantre à la Sainte-Chapelle (1532), où il devient maître des jeunes choristes vers 1542 ; il est nommé chapelain perpétuel en 1548, et, en 1560, il reçoit une prébende canoniale à Notre-Dame de Melun. Ronsard le déclare élève de Janequin ; c'est un ami de Claudin de Sermisy, de Pierre Attaingnant l'éditeur et de Thomas Champion l'organiste du roi.

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