Melba
- Adjectif invariant en genre et en nombre
Définition
- en pêche, fruits placés sur une couche de glace et nappés de crème Chantilly, du nom d'une cantatrice
"melba" dans l'encyclopédie
-
MELBA NELLIE (1861-1931)
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 1 104 mots
Jeune pianiste et organiste douée, Nellie Melba, de son vrai nom Helen Porter Mitchell, chante dans la salle municipale de Richmond (Australie) dès l'âge de six ans. Elle n'étudie cependant le chant qu'après son mariage avec Charles Nesbitt Armstrong en 1882. Elle se produit à Sydney en 1885 et à Londres en 1886, puis étudie à Paris. Elle fait ses débuts à l'opéra en interprétant Gilda, dans Rigoletto de Verdi, en 1887 à Bruxelles, prenant Melba comme nom de scène (en souvenir de la ville de Melbourne).
-
ESCOFFIER AUGUSTE (1846-1935)
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 2 647 mots
Dans ce prestigieux établissement, le chef français va servir l'élite internationale et créer des plats restés célèbres : les filets de sole Coquelin, le homard aux feux éternels, la volaille à la Derby, la pêche Melba, inventée en l'honneur de la cantatrice australienne Nellie Melba, qui séjourne dans l'hôtel en 1892-1893, les cuisses de nymphe à l'Aurore, les suprêmes de volaille Jeannette, etc.
-
EAMES EMMA (1865-1952)
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 2 993 mots
En 1891, Emma Eames quitte l'Opéra de Paris à cause d'intrigues et de la rivalité qui l'oppose à la soprano australienne Nellie Melba. Elle incarne Elsa (Lohengrin de Wagner, chanté en italien !) lors de ses débuts au sein de la troupe du Metropolitan Opera de New York, le 9 novembre 1891, à Chicago ; elle apparaît pour la première fois sur la scène new-yorkaise du Met le 4 décembre 1891, dans le rôle de Santuzza (Cavalleria rusticana de Pietro Mascagni).
-
McCORMACK JOHN FRANCIS (1884-1945)
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 1 023 mots
En 1911, il effectue une tournée en Australie avec Nellie Melba. Il se concentre par la suite sur les concerts, et devient un excellent chanteur de lieder. Le public apprécie surtout les chansons traditionnelles irlandaises qu'il intègre à son programme. Il est admiré pour la beauté de sa voix et sa maîtrise précise de la musique. Il obtient la nationalité américaine en 1919.
-
LOUVIN CHARLIE (1927-2011)
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 3 199 mots
Charlie Louvin continue d'enregistrer : retenons les singles I Don't Love You Anymore (1964), You Finally Said Something Good (When You Said Goodbye) [1966], Little Reasons (1969), Something to Brag About et Baby, You've Got What It Takes (en duo avec Melba Montgomery, 1971), You're My Wife, She's My Woman (1974), l'album Jim and Jesse and Charlie (avec Jim & Jesse, 1982).