Menstruelle
- Adjectif féminin singulier
Définition
- relative à la menstruation, premier stade du cycle œstral de la femme, non enceinte, caractérisé par un écoulement sanguin vaginal
"menstruelle" dans l'encyclopédie
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CYCLE MENSTRUEL
- Écrit par Pierre KONOPKA
- 17 127 mots
- 3 médias
Par commodité, est appelé cycle menstruel la période qui s'écoule du premier jour des règles au premier jour des règles suivantes. Un cycle menstruel humain dure environ vingt-huit jours en moyenne. Sous une appellation banale se cache en réalité l'un des mécanismes biologiques les plus complexes, les plus précis et les plus élaborés du vivant. En dehors de l'espèce humaine, le cycle menstruel existe seulement chez quelques primates supérieurs (orang-outan, chimpanzé, gorille).
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KYSTES OVARIENS
- Écrit par Paul-François LEROLLE
- 2 414 mots
- 1 média
Les premiers disparaissent le plus souvent spontanément après les règles, d'où l'importance de ne pas intervenir à la hâte et de refaire un examen en période post-menstruelle pour s'assurer de la persistance du kyste avant de décider une intervention. Les kystes organiques persistent au cours des examens successifs. Ils peuvent être dermoïdes, contenant des dérivés ectodermiques (dents, poils, cartilages, etc.
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SEXUALISATION, biologie
- Écrit par Jacques DECOURT, Jean-Marc LOBACCARO, Étienne PATIN, Lluis QUINTANA-MURCI et Charles SULTAN
- 77 369 mots
- 2 médias
Si l'ovocyte n'est pas fécondé, la desquamation de la muqueuse utérine (où l'œuf aurait accompli sa nidation) provoque l'hémorragie menstruelle. La périodicité des fonctions ovariennes est sous la dépendance d'un « releasing factor ». Du noyau hypothalamique préoptique dépend la décharge d'hormone lutéinisante (LH) à effet ovulatoire qui se produit au milieu du cycle menstruel.
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GÉNITAL APPAREIL
- Écrit par Claude GILLOT, Bernard JAMAIN, Maurice PANIGEL et Encyclopædia Universalis
- 81 243 mots
- 12 médias
À ces périodes correspondent, au niveau de la muqueuse utérine, une phase proliférative (folliculaire) et une phase progestative (lutéale) qui se terminent chez la femme par la phase menstruelle. Ces modifications histologiques cycliques portent sur l'épithélium de la surface, sur les glandes et sur la vascularisation utérines (fig. 3). Les œstrogènes provoquent la croissance des glandes utérines et l'épaississement de l'endomètre, la progestérone complète ensuite la préparation du « nid utérin » (sécrétions glandulaires, dépôt de glycogène et infiltration œdémateuse dans le tissu conjonctif).