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Menteuse

  • Nom féminin singulier
  • Adjectif féminin singulier

Définition

Employé comme adjectif

  1. qui ment, qui ne dit pas la vérité

Employé comme nom

  1. personne qui ment, qui ne dit pas la vérité

"menteuse" dans l'encyclopédie

  • LE MENTEUR (P. Corneille) Fiche de lecture

    • Écrit par Boris DONNÉ
    • 6 432 mots

    Le Menteur, comédie en cinq actes et en vers, est la treizième pièce de Pierre Corneille (1606-1684). Créée à la fin de l’année 1643 au Théâtre du Marais à Paris, elle est publiée en 1644. Au début de sa carrière, Corneille s’est fait connaître par des comédies qui ont renouvelé le genre ; mais le triomphe du Cid (1637) et les débats suscités par cette pièce l’ont incité à se spécialiser dans le genre sérieux de la tragédie.

  • ACHARD MARCEL (1899-1974)

    • Écrit par Robert MANUEL
    • 3 087 mots

    L'amour dans la poésie la plus mélancolique comme dans l'humour le plus constant, le sourire omniprésent, le trait, la pointe d'esprit le plus pur, la cabriole qui va du comique au sévère, du gros rire à la tendresse la plus émouvante, la femme rouée, roublarde, menteuse, dissimulée mais toujours pardonnée et comprise, et surtout l'homme lunaire, charmant, drôle qui sait souffrir en souriant et qui sait voir dans la vie ce qu'il y a de vrai et de consolant, tandis que le rire est là, sous-jacent, et fait passer le drame le plus triste, la situation la plus décevante.

  • SECOND JEAN (1511-1536)

    • Écrit par Françoise JOUKOVSKY
    • 3 592 mots

    Vénale, menteuse, elle lui échappe. Deux images, l'une idéale et l'autre réelle, mais toutes deux inaccessibles à des titres divers. L'élégie devient ainsi un discours de l'inutilité d'aimer. L'actualité sollicite également Second, qui compose des poèmes sur la prise de Cambrai, sur l'exécution de Thomas More ou sur le couronnement de Charles Quint.

  • ANDRÉ LE CHAPELAIN (XIIe-? XIIIe s.)

    • Écrit par Raoul VANEIGEM
    • 5 803 mots

    La femme est avare, inconstante, hypocrite, menteuse, ivrognesse, luxurieuse et nul ne saurait s'en accommoder sans avoir à en pâtir. Comment expliquer un revirement aussi artificiel ? On a avancé la convention scolastique du pro et contra, selon laquelle il appartient au lecteur de trancher. On a parlé d'attitude prudente. Peut-être est-il permis d'y voir un « ou bien.

  • DEVILLE MICHEL (1931-2023)

    • Écrit par René PRÉDAL
    • 5 996 mots

    La fragilité des intrigues, le balancement entre douceur et cruauté, frivolité et gravité font déjà de Ce soir ou jamais (1960), Adorable Menteuse (1961) et À Cause, à cause d'une femme (1962) des bijoux délicieusement ciselés par une narration non conventionnelle et un sens plastique d'une rare élégance. Mais le cinéma ne respire en ce début des années 1960 qu'au rythme d'une Nouvelle Vague dont Deville prend le contre-pied.

Recherche alphabétique

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