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Midis

  • Nom masculin pluriel

Définition

  1. pluriel rare de "midi"

"midis" dans l'encyclopédie

  • MIDI-PYRÉNÉES

    • Écrit par Robert MARCONIS
    • 24 477 mots
    • 1 média

    En raison de son étendue, de sa diversité, Midi-Pyrénées a pu apparaître comme une construction artificielle, une « fausse région », mais la réorganisation des grands services de l'État dans ce cadre territorial y a progressivement imposé des solidarités territoriales nouvelles dans tous les domaines de la vie économique et sociale. C'est en fait autour de Toulouse, métropole régionale incontestée, que se forge peu à peu l'unité de Midi-Pyrénées.

  • MIDIR ou MIDER

    • Écrit par Christian-Joseph GUYONVARC'H
    • 1 363 mots

    Le dieu irlandais Midir n'apparaît guère que dans les récits du cycle de la Courtise d'Étain où, ayant élevé Oengus, fils du Dagda, et l'ayant aidé à trouver un domaine, il reçoit Étain pour épouse. Il avait eu l'œil droit crevé au cours d'une querelle de jeunes gens et l'œil fut guéri par Diancecht. Étain lui fut donnée en compensation pour le dommage subi.

  • Prélude à l'après-midi d'un faune, DEBUSSY (Claude)

    • Écrit par Alain FÉRON
    • 3 148 mots

    Il connaît le succès en 1894 avec le Prélude à l'après-midi d'un faune. Les chefs-d'œuvre se succèdent : Nocturnes (1901), réponse musicale au symbolisme littéraire, Pelléas et Mélisande (1902), un des opéras majeurs du XXe siècle, La Mer (1905), son chef-d'œuvre orchestral. Images (1906-1908) et Douze Études (1915) marquent l'aboutissement de son génie pianistique.

  • ABŪ FIRĀS AL-ḤAMDĀNĪ (932-968)

    • Écrit par André MIQUEL
    • 3 809 mots

    Ah ! puissent te pleurer tous les jours de tes jeûnes, passés sans faiblesse, dans l'embrasement des midis ! Ah ! puissent te pleurer toutes les nuits de veille, jusqu'aux premières lueurs de l'aube ! Ah ! puissent te pleurer tous les persécutés que tu as recueillis, quand la peur leur faisait les asiles si rares !... Ô ma mère, combien de longs chagrins emportés avec toi, sans une consolation ? Ô ma mère, combien de secrets gardés jalousement, qui meurent avec toi sans avoir vu le jour ? »

  • PROKOSCH FREDERICK (1908-1989)

    • Écrit par Raoul VANEIGEM
    • 6 177 mots

    La réalité vacille sous le souffle des midis aveuglants, « le cerveau vide de pensées » s'invente des villes fantomatiques et des paysages où l'on passe insensiblement de la vie à la mort : « Nous sommes tous des esprits sans défense, tourmentés. » Parce qu'elle était volontiers capricieuse et errante, la vie de Frederick Prokosch favorisait les rencontres, les hasards heureux ou funestes.

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