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Milanais

  • Nom masculin invariant en nombre
  • Adjectif masculin invariant en nombre

Définition

Employé comme adjectif

  1. relatif à Milan en Italie

Employé comme nom

  1. originaire ou habitant de cette ville
  2. en pâtisserie, génoise à l'abricot

Expressions autour de ce mot

  1. escalope à la milanais e : escalope panée

"milanais" dans l'encyclopédie

  • LOUIS XII (1462-1515) roi de France (1498-1515)

    • Écrit par Jean MEYER
    • 2 164 mots

    Désireux de prendre sa revanche en Italie, il réussit à conquérir le Milanais, héritage angevin de son aïeule, Valentine Visconti. Il emprisonne Ludovic le More, qui mourra à Loches en 1508. En 1500, il est pratiquement maître de toute l'Italie. Mais, dès 1506, les troupes françaises sont chassées de Naples par celles de Ferdinand d'Aragon. En 1512, Louis XII perd le Milanais et, en 1513, la défaite de Novare ruine les espoirs français en Italie.

  • PORTA CARLO (1776-1821)

    • Écrit par Paul LARIVAILLE
    • 1 683 mots

    Écrite en dialecte milanais, l'œuvre de Carlo Porta, modeste employé des Finances, offre un reflet animé de la vie milanaise, de la Révolution française à l'époque de la Restauration postnapoléonienne. Formé à l'école de Giuseppe Parini, des frères Verri et autres adeptes lombards de la philosophie des Lumières, Porta partage d'abord avec enthousiasme les espoirs de justice et de liberté qu'éveillent chez ses concitoyens la Révolution française et l'avènement de la République cisalpine.

  • BOURBON CHARLES duc de (1490-1527) connétable de France

    • Écrit par Encyclopædia Universalis
    • 3 495 mots

    Nommé connétable de France lors de l'accession au trône de François Ier (1515), il contribue largement à la victoire de Marignan, qui fait du jeune roi le maître du Milanais. À vingt-cinq ans, chargé d'honneurs, Charles de Bourbon est gouverneur du Milanais au nom du roi. Il prend des mesures efficaces pour défendre la province contre l'empereur germanique Maximilien.

  • MILAN

    • Écrit par Michel BALARD et Petros PETSIMERIS
    • 24 807 mots
    • 5 médias

    -1859) Louis XII, se prétendant l'héritier légitime de sa grand-mère Valentine Visconti, occupe en 1499 le Milanais qui, dès lors, est l'enjeu des luttes entre la France et les Habsbourg. François Ier le perd définitivement après Pavie (1525). Charles Quint, considérant le duché comme fief d'empire, l'annexe à la mort du dernier Sforza (1535). Avec Philippe II, le Milanais devient une province espagnole, sous la coupe d'un gouverneur, face auquel le Sénat local s'efforce de défendre une certaine autonomie.

  • CAGNOLA LUIGI (1762-1833)

    • Écrit par Jean-Pierre MOUILLESEAUX
    • 621 mots

    Aristocrate milanais, amateur cultivé fuyant les armées révolutionnaires françaises, Luigi Cagnola séjourne à Venise à partir de 1797 et devient architecte et théoricien d'un néo-classicisme national inspiré par Palladio, la Rome antique et la Renaissance. Il construit pour Milan des arcs de triomphe modernes : la Porta Marengo (1801), l'Arco del Sempione (1806), et de nombreuses églises dans la campagne : Concorezzo, Ghisalba (1822) inspirée par la Rotonda de Palladio à Vicence, Urgnano.

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