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Mine

  • Nom féminin singulier
  • Verbe à l'indicatif présent 3e personne du singulier

Définition

  1. apparence physique, allure
  2. aspect extérieur, apparence affectée ou naturelle, par opposition à nature profonde
  3. expression du visage qui est l'indicateur de la bonne ou mauvaise santé
  4. expression du visage en tant qu'indicateur de bonne ou mauvaise humeur
  5. (au pluriel) jeux de physionomie, minauderies, manières
  6. en minéralogie, gisement de mine rai
  7. terrain d'où l'on peut extraire un mine rai
  8. cavité aménagée pour l'extraction d'un mine rai
  9. installations utilisées pour exploiter un mine rai
  10. réserve abondante, source
  11. charge ou engin explosif
  12. galerie souterraine remplie d'explosifs en vue de la destruction d'un ouvrage
  13. ancienne unité de poids
  14. ancienne mesure de capacité pour les céréales
  15. au pluriel, section ministérielle chargée de l'exploitation du sous-sol, l'étude géologique des sols...
  16. bâton de graphite qui constitue la partie centrale du crayon

Expressions autour de ce mot

  1. faire mine de : faire semblant de
  2. mine de crayon : bâton de graphite qui constitue la partie centrale du crayon
  3. mine de rien : comme si de rien n'était

Forme dérivée du verbe « miner »

"mine" dans l'encyclopédie

  • I've got mine, SMALL FACES

    • Écrit par Eugène LLEDO
    • 2 278 mots

    I've Got Mine est un échec commercial à sa sortie en 45-tours en 1965, ce qui entraîne le départ de Jimmy Winston, organiste du groupe. Son style est typique d'une certaine esthétique pop anglaise du début des années 1960, qui s'appuie sur une relecture du rhythm and blues américain. Le refrain illustre cette démarche, avec ses questions-réponses entre la voix soliste et les chœurs ainsi que sa séquence bluesy de deux accords.

  • LAURION MINES DU

    • Écrit par André DAUBARD
    • 1 195 mots

    Le Laurion est une région montagneuse du sud-est de l'Attique, célèbre dans l'Antiquité pour ses mines de plomb argentifère. L'exploitation remonte, peut-être, aux alentours de ~ 1000. En ~ 483, les Athéniens utilisèrent le filon pour financer la construction d'une grande flotte qui remporta sur les Perses la victoire de Salamine en ~ 480. La cité d'Athènes, propriétaire des mines, en assurait l'exploitation grâce à un système de concessions ; plusieurs milliers d'esclaves y travaillaient dans des conditions pénibles ; ils s'enfuirent lorsque, en ~ 413, au cours de la guerre du Péloponnèse, les Lacédémoniens occupèrent la ville de Décélie, et les mines furent provisoirement fermées.

  • ÉCOLE DES MINES DE PARIS

    • Écrit par Florence DANIEL
    • 1 811 mots

    Vers la fin du xviiie siècle, il apparaît que l'industrie minière, en pleine expansion, ne peut continuer à prospérer sans un enseignement adapté. La première École des mines de France est ainsi créée à Paris par un arrêt du Conseil du roi du 19 mars 1783, arrêt qui prend d'ailleurs appui sur deux autres concernant la réglementation de l'exploitation des mines métalliques et de houille.

  • MINES, Antiquité gréco-romaine

    • Écrit par Claude DOMERGUE
    • 70 193 mots
    • 1 média

    À l'échelon local, la mine était dirigée par un procurateur, affranchi impérial, assisté d'une administration. Son territoire était soumis tout entier à son autorité et échappait au système municipal qui était la règle dans les provinces. Les règlements miniers du metallum Vipascense, gravés sur deux tables de bronze découvertes respectivement en 1876 (Institut géologique du Portugal, Lisbonne) et 1906 (Musée national d'archéologie et d'ethnologie, Belem-Lisbonne) dans les scories romaines de la mine d'Aljustrel (Portugal), donnent une idée des pouvoirs du procurateur au temps de l'empereur Hadrien (117-138) : il contrôlait tant les activités liées à la mine (administration, sécurité) que la vie quotidienne de l'agglomération minière (fonctionnement des thermes et de l'école, ventes aux enchères, services du foulon et du barbier, etc.

  • LEWARDE CENTRE HISTORIQUE MINIER DE

    • Écrit par Jack LIGOT
    • 4 803 mots

    « Mine et mineurs » présente des aspects de cette culture : l'histoire du bassin, le travail à la mine, les maladies et accidents, la formation et la promotion, le syndicalisme, la vie quotidienne, l'héritage des houillères. « 1884, le temps des révoltes » rappelle, à travers la reconstitution d'un estaminet, la montée des révoltes et la naissance du syndicalisme.

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