Namibien
- Nom masculin singulier
- Adjectif masculin singulier
Définition
Employé comme adjectif
- relatif à la Namibie en Afrique du Sud
Employé comme nom
- originaire ou habitant de ce pays
"namibien" dans l'encyclopédie
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BAILEY DONOVAN (1967- )
- Écrit par Pierre LAGRUE
- 5 155 mots
Deux rencontres scellent sa destinée sportive : en 1991, le champion namibien Frankie Fredericks – qui, ironie du sort, sera son dauphin aux Jeux d'Atlanta en 1996 – le persuade que les qualités physiques dont il dispose peuvent lui permettre de réaliser de grandes performances ; deux ans plus tard, Dan Pfaff, l'entraîneur de l'équipe d'athlétisme de l'université de Louisiane à Baton Rouge, le convainc de travailler avec lui et de se plier aux exigences du sport de haut niveau.
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NAMIBIE
- Écrit par Charles CADOUX, Philippe GERVAIS-LAMBONY, Reginald H. GREEN et Encyclopædia Universalis
- 39 549 mots
- 11 médias
Pour Pretoria, il s'agit d'empêcher par tous les moyens les attaques « terroristes » sur le sol namibien et, toujours, de lutter contre la subversion marxiste qu'incarne la S.W.A.P.O. Celle-ci revendique au contraire sa qualité de Mouvement de libération nationale et le label officiel de « seul représentant du peuple namibien » décerné par l'O.N.U.
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NUJOMA SAM (1929- )
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 2 702 mots
comme seul représentant légitime du peuple namibien, tandis que le Conseil de sécurité adopte en 1978 la résolution 435. Ce texte, qui prévoit à terme l'indépendance de la Namibie, est finalement accepté par l'Afrique du Sud en 1988. En septembre 1989, après trente années d'exil, Nujoma rentre en Namibie pour mener la S.W.A.P.O. à la victoire lors des élections organisées sous le contrôle de l'O.
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JOHNSON MICHAEL (1967- )
- Écrit par Pierre LAGRUE
- 3 287 mots
- 1 média
S'il était enfin parvenu, lors des sélections américaines pour les Jeux, à améliorer, en 19,66 s, le record du monde détenu depuis 1979 par l'Italien Pietro Mennea (19,72 s), il s'impose, devant le Namibien Frankie Fredericks et le Trinidadien Ato Boldon, en 19,32 s. Jamais un homme n'avait alors couru aussi vite : 37,267 km/h. Les quelques larmes qu'il versera sur le podium prouveront que la « Statue » est aussi un être humain.
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LEWIS CARL (1961- )
- Écrit par Pierre LAGRUE
- 10 644 mots
- 1 média
Le 25 août, le 100 mètres réunit tous les plus grands champions de l'époque – les Américains LeRoy Burrell, Dennis Mitchell, le Britannique Linford Christie, le Namibien Frank Fredericks... Dans cette course exceptionnelle où les six premiers réalisent moins de 10 secondes, Carl Lewis affirme sa suprématie, en améliorant le record du monde (9,86 s).