Nantaise

"nantaise" dans l'encyclopédie

• NANTES

  • Écrit par François MADORÉ et Encyclopædia Universalis
  • 6 969 mots
  • 2 médias

  Ce complexe urbain bipolaire de la Basse-Loire comprend 1 110 780 habitants (en 2012), concentrés, pour les quatre cinquièmes, dans l'aire urbaine nantaise (897 700 habitants), qui se situe à la huitième place dans la hiérarchie française. L'accroissement de la population dans les aires urbaines de Saint-Nazaire et de Nantes est conforme à la moyenne nationale (+ 0,6 p.

• LA PATELLIÈRE AMÉDÉE DUBOIS DE (1890-1932)

  • Écrit par Jean-Marie MARQUIS
  • 1 343 mots

  Né à Vallet, dans la région nantaise, Amédée Dubois de La Patellière passe son enfance à la campagne, qui sera l'une des sources d'inspiration de son œuvre. Après avoir préparé l'École navale, il entre en 1910 à l'Académie Julian à Paris, et, au retour de la guerre en 1919, passe quelque temps en Tunisie d'où il rapportera de lumineuses esquisses.

• MAKELELE CLAUDE (1973- )

  • Écrit par Pierre LAGRUE
  • 4 346 mots

  Au sein de l’équipe nantaise, il devient vite indispensable : il joue milieu récupérateur et se montre un infatigable travailleur, permettant à ses partenaires de l'époque – Patrice Loko, Reynald Pedros, Nicolas Ouédec... – de briller. Avec les « Canaris », il est champion de France en 1995. En 1997, il signe à l'Olympique de Marseille, puis il gagne l'Espagne, où il joue au Celta Vigo (1998-2000), avant de s'engager avec le prestigieux Real Madrid.

• BOVINS DOMESTIQUES

  • Écrit par Marie-Claude BOMSEL
  • 5 497 mots
  • 2 médias

  Beaucoup d'éleveurs se mobilisent pour que certaines races locales en péril telles que la villard-de-lans, la nantaise ou la froment du Léon soient préservées afin de maintenir la diversité génétique du cheptel français. Ces races à petits effectifs, qui sont extrêmement rustiques et donc résistantes, peuvent jouer un rôle important dans la lutte contre certaines épizooties.

• AYRAULT JEAN-MARC (1950- )

  • Écrit par Blaise MAGNIN et Encyclopædia Universalis
  • 7 248 mots
  • 1 média

  Après avoir obtenu le CAPES en 1972, Jean-Marc Ayrault est nommé en 1973 professeur dans un collège de Saint-Herblain, ville de la périphérie nantaise en pleine expansion. Il adhère à la section socialiste de la ville qui se développe elle aussi très rapidement, et en devient le secrétaire dès 1974. Il est élu conseiller général de Loire-Atlantique en 1976, puis remporte en 1977 la mairie de Saint-Herblain face au sénateur-maire RPR, Michel Chauty, continuellement réélu depuis 1959, devenant alors le plus jeune maire de France d'une commune de plus de 30 000 habitants.