Nationale-socialiste

"nationale-socialiste" dans l'encyclopédie

• NUREMBERG

  • Écrit par Tim FREYTAG
  • 3 154 mots
  • 1 média

  Cependant, durant la Seconde Guerre mondiale, la ville subit d’importantes destructions et, après la capitulation, accueille le procès des crimes de guerre de la période nationale-socialiste, le procès de Nuremberg. À la différence de la plupart des autres villes allemandes, la reconstruction se fait en respectant l’organisation de la ville médiévale.

• MOMMSEN HANS (1930-2015)

  • Écrit par Christoph BRÜLL
  • 4 378 mots

  Mommsen forge deux concepts majeurs : celui de « dictateur faible » (1971) pour qualifier la structure du régime et celui de « radicalisation cumulative » (1976) pour expliquer la gestation de la « solution finale » nationale-socialiste. Son article Die Realisierung des Utopischen (« La Réalisation de l’utopique », 1983) marque un apogée de la controverse entre fonctionnalistes et intentionnalistes.

• WALDHEIM KURT (1918-2007)

  • Écrit par Paul PASTEUR
  • 4 983 mots

  Avec l'Anschluss, en 1938, l'Autriche est annexée par l'Allemagne nationale-socialiste. Kurt Waldheim devient alors membre de l'Association des étudiants nationaux-socialistes et des Reiter-SA, la cavalerie SA. Il niera cependant toute sa vie avoir signé le moindre engagement. Il poursuit ses études de droit jusqu'à sa mobilisation au printemps de 1940.

• HANOVRE

  • Écrit par Tim FREYTAG
  • 4 648 mots
  • 1 média

  Pendant la période nationale-socialiste, les populations juives y sont persécutées et déportées et leurs biens saccagés, notamment au cours des pogroms de la Nuit de cristal, en novembre 1938. La synagogue est détruite. Au cours de la Seconde Guerre mondiale, de nombreux quartiers résidentiels et zones industrielles sont détruits par les bombardements.

• TISO JOZEF (1887-1947)

  • Écrit par Vladimir Claude FISERA
  • 5 242 mots

  1940) entre Hitler, les pronazis du parti du président et Tiso lui-même, celui-ci se maintient au pouvoir au prix de l'adoption explicite de l'idéologie nationale-socialiste et de la participation à la guerre contre l'U.R.S.S. et les démocraties occidentales. Prêcheur écouté d'un peuple très croyant, Tiso parvient à conserver l'aspect clérical du régime tout en donnant au Reich plus de gages que ce dernier n'en réclame : « Code juif », camps de concentration, visite de l'Ukraine occupée où il échappe de peu à un attentat, etc.