Nationalement
- Adverbe
Définition
- sur le plan national
"nationalement" dans l'encyclopédie
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NATIONALISATION
- Écrit par Jean-Claude BONICHOT et Encyclopædia Universalis
- 38 310 mots
Ces idées sont consacrées par le préambule de la Constitution du 27 octobre 1946 qui dispose : « Tout bien, toute entreprise, dont l'exploitation a ou acquiert les caractères d'un service public national ou d'un monopole de fait, doit devenir la propriété de la collectivité. » Les raisons économiques sont dictées par la situation de la France après guerre et par son énorme retard industriel.
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NATIONAL LE
- Écrit par Pierre ALBERT
- 2 915 mots
Sous la seconde République, Le National eut une carrière sans relief : Marrast fut ministre ; le journal finit par devenir l'organe de Cavaignac : il fut supprimé lors du coup d'État du 2 décembre 1851. En 1869, Ildefonse Rousset reprit le titre, et Le National eut une nouvelle carrière dont les multiples avatars se terminèrent en 1914.
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COMPTABILITÉ NATIONALE
- Écrit par Marc PÉNIN
- 62 499 mots
- 1 média
, épargne, revenu national disponible, revenu national [aux prix du marché], excédent d'exploitation de l'économie totale). Le revenu national (R.N.) représente l'ensemble des revenus primaires reçus par les unités institutionnelles résidentes et correspond au solde (S.R.P.) du compte d'affectation des revenus primaires de l'économie nationale (ou à la somme des S.
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REVENU NATIONAL
- Écrit par Véronique PAREL et Francisco VERGARA
- 32 027 mots
Délimitation du concept de revenu national Dans revenu national, il y a « revenu » et « national ». Le terme national ne pose pas un grand problème ; il convient toutefois de signaler qu'il désigne ici non la nationalité de ceux dont on mesure le revenu, mais leur lieu de résidence. Autrement dit, le revenu national d'un pays est le revenu des personnes physiques et morales résidentes de ce pays, quelle que soit leur nationalité.
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GARDE NATIONALE
- Écrit par Jean TULARD
- 4 895 mots
Le 13 juillet 1789, le comité permanent des électeurs décide la constitution d'une force armée de 48 000 hommes pour assurer le maintien de l'ordre dans la capitale. Son commandement est confié le 15 juillet à La Fayette. Elle reçoit le nom de garde nationale. Dans la plupart des villes et dans de nombreux villages, des milices sont formées sur ce modèle.