Neurochirurgicale
- Adjectif féminin singulier
Définition
- en chirurgie, qui concerne la neurochirurgie, partie de la chirurgie consacrée au cerveau
"neurochirurgicale" dans l'encyclopédie
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ABCÈS DU CERVEAU
- Écrit par François BOURNÉRIAS
- 1 113 mots
À ce stade, seule l'intervention neurochirurgicale guidée par l'exploration neuroradiologique est de mise. Le pronostic, imprévisible, dépend surtout de la localisation, de la taille de la lésion, enfin de la précocité du traitement. En cas de guérison, les séquelles, notamment épileptiques, restent fréquentes (plus de 50 p. 100 des cas).
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HÉMORRAGIE CÉRÉBRALE
- Écrit par François BOURNÉRIAS
- 1 534 mots
Si celui-ci survit, grâce à la réanimation initiale et quelquefois à une intervention neurochirurgicale, le pronostic fonctionnel, amélioré par une patiente rééducation, peut être bon, notamment dans les lésions de l'hémisphère non dominant, autrement dit l'hémisphère droit chez le droitier, le gauche chez le gaucher.
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TUMEURS CÉRÉBRALES
- Écrit par François BOURNÉRIAS
- 2 221 mots
L'intervention neurochirurgicale habituellement proposée débouchera sur un pronostic extrêmement variable (suivant la nature bénigne ou maligne de la tumeur, mais aussi suivant sa localisation). La radiothérapie et la chimiothérapie sont également employées dans le traitement des tumeurs cérébrales.
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PARKINSON MALADIE DE
- Écrit par Gabriel GACHELIN
- 14 140 mots
- 2 médias
L’intervention se fait sous contrôle stéréotaxique de l’injection (technique neurochirurgicale qui permet d’atteindre des zones du cerveau très précises localisées par imagerie, grâce à un dispositif mécanique de positionnement dans l’espace de l’aiguille). Les cellules introduites se différencient sur place et se spécifient pour produire de la dopamine.
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ACUPUNCTURE
- Écrit par François BOUREAU
- 16 499 mots
- 1 média
Certains procédés visent à interrompre la naissance ou la transmission des messages douloureux (antalgiques périphériques, blocs anesthésiques, section neurochirurgicale...). D'autres techniques visent à renforcer un mécanisme de contrôle inhibiteur de la nociception. Le procédé le plus simple est la neurostimulation transcutanée. Son principe est l'activation de messages tactiles véhiculés par les fibres de gros diamètre (groupe II).