Nicolaier
- Nom masculin singulier
Définition
Expressions autour de ce mot
- bacille de nicolaier : agent du tétanos
"nicolaier" dans l'encyclopédie
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GEDDA NICOLAI (1925-2017)
- Écrit par Pierre BRETON
- 4 262 mots
- 1 média
Nicolai Gedda meurt le 8 janvier 2017 à Tolochenaz, près de Lausanne (Suisse).
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GHIAUROV NICOLAI (1929-2004)
- Écrit par Alain PÂRIS
- 4 030 mots
En une trentaine d'années, Nicolai Ghiaurov aura participé à 81 représentations (dix rôles) sur la première scène lyrique américaine et à 227 spectacles à l'Opéra de Vienne. Quelques mois avant sa disparition, il chantait encore le rôle de ses débuts – Don Basilio – à la Fenice de Venise et Ramfis à l'Opéra de Monte-Carlo. Il meurt à Modène le 2 juin 2004.
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HARTMANN NICOLAÏ (1882-1950)
- Écrit par Raoul VANEIGEM
- 1 185 mots
Philosophe allemand, né à Riga et mort à Göttingen, Nicolaï Hartmann, par la manière dont il aborde les problèmes de l'être et de la connaissance, se rattache au courant de la phénoménologie. Après des études à Saint-Pétersbourg, il fut l'élève de Hermann Cohen et de Paul Natorp, deux maîtres de l'École néo-kantienne de Marburg, dont fit partie aussi Ernst Cassirer.
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GRUNDTVIG NICOLAI FREDERIK SEVERIN (1783-1872)
- Écrit par Frederik Julius BILLESKOV-JANSEN
- 11 093 mots
Pasteur, écrivain et savant danois, Nicolai Grundtvig a dit de lui-même qu'il était mi-poète, mi-rat de bibliothèque. Chez lui vont remarquablement de pair la création poétique et une érudition qui embrasse la théologie, l'histoire et les langues anciennes. Mais à travers l'ensemble passe une force spirituelle sans égale. Marqué par les philosophes allemands Fichte et Schelling, de même que par la poésie du Danois A.
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NICOLAI CARL OTTO EHRENFRIED (1810-1849)
- Écrit par Marc VIGNAL
- 887 mots
Né à Königsberg, Nicolai parvient, après avoir fui l'éducation tyrannique de son père, à travailler à Berlin avec Carl Friedrich Zelter. Organiste à l'ambassade de Prusse à Rome, il s'y familiarise avec la musique italienne ancienne. Après un court séjour à Vienne, il fait représenter en Italie plusieurs opéras. De retour à Vienne en 1841, il y devient premier chef d'orchestre de l'Opéra impérial, et y fonde les concerts philharmoniques.