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Nivôse

  • Nom masculin singulier

Définition

  1. en histoire, quatrième mois du calendrier républicain

"nivôse" dans l'encyclopédie

  • LES CHANSONS DES RUES ET DES BOIS, Victor Hugo Fiche de lecture

    • Écrit par Yves LECLAIR
    • 4 773 mots

    Une composition en écho Comme à la « Jeunesse » répond la « Sagesse », tous les éléments du recueil sont en résonance : au printemps amoureux de « Floréal » (I, livre I), fait écho la « Clôture » de « Nivôse » (IV, livre II) ; dans le livre I des amours grandes et petites, la passion fidèle et unique « Pour Jeanne seule » (III) s'oppose à l'éloge de l'inconstance dans la section suivante (« Pour d'autres », IV) ; les deux poèmes politiques des « Silhouettes du temps jadis » (V, livre I) annoncent le livre II.

  • BILLAUD-VARENNE JEAN NICOLAS (1756-1819)

    • Écrit par Jean TULARD
    • 2 793 mots

    Le 7 nivôse an III, une commission d'enquête est chargée d'examiner la conduite de Barère, de Collot d'Herbois, de Vadier et de Billaud-Varenne. Billaud et Collot sont déportés. Relégués à Sinnamari, en Guyane, Billaud-Varenne y vit « en Socrate » selon l'expression de Barbé-Marbois, rédigeant des Mémoires publiés seulement en 1893 et dans lesquels il déplore les divisions de la Montagne.

  • MONITEUR UNIVERSEL LE

    • Écrit par Pierre ALBERT
    • 3 376 mots

    Après le coup d'État du 18-Brumaire, Bonaparte fit du Moniteur, dès le 1er nivôse an VIII (27 décembre 1799), l'organe officiel du gouvernement consulaire : devenu secrétaire d'État, Maret, futur duc de Bassano, avait favorisé cette promotion. Sous le premier Empire, Le Moniteur devint le meilleur instrument de propagande de Napoléon ; à l'intérieur d'abord, où il profita de la suppression de la plupart des autres journaux, du privilège des nouvelles officielles et du développement de ses rubriques non politiques ; à l'extérieur ensuite, car il était par ses informations et ses commentaires l'organe de la diplomatie impériale.

  • GRÉGOIRE HENRI dit L'ABBÉ (1750-1831)

    • Écrit par Bernard PLONGERON
    • 4 470 mots

    Il unit le droit des gens (déclaration du 18 juin 1793) à l'indispensable liberté religieuse (grand discours des 3-4 nivôse an III). Avec des évêques, anciens conventionnels, il rassemble, en 1795, les morceaux de l'Église constitutionnelle sous l'autorité d'un Comité des évêques réunis. Leurs décisions sont répercutées par le périodique Les Annales de la religion et concourent à la session de deux conciles nationaux (1797 et 1801) aux travaux prometteurs.

  • LÉGION D'HONNEUR

    • Écrit par Claude DUCOURTIAL-REY
    • 4 327 mots

    La Révolution, ayant aboli les décorations de la monarchie, avait remis des récompenses militaires, usage réglementé par l'arrêté consulaire du 4 nivôse an VIII, créant les armes d'honneur. Peu avant son accession au trône impérial, Bonaparte fondait un ordre consacrant le principe de l'égalité entre tous les services rendus au pays : la Légion d'honneur, nom inspiré de la Legio honoratorum de Rome, et qui connut immédiatement un prestige incomparable.

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