Noël
- Nom masculin singulier
Définition
Avec une capitale
- en religion, Nativité, fête anniversaire de la naissance de Jésus-Christ, le 25 décembre
- période qui entoure cette date ("vacances de Noël")
- en musique, cantique religieux ou chanson qui a pour sujet cette fête
Expressions autour de ce mot
- arbre de Noël : sapin décoré au moment de cette fête
- croire au Père Noël : être trop crédule, naïf
- Père Noël : personnage imaginaire censé apporter des cadeaux aux enfants la nuit de Noël
"noël" dans l'encyclopédie
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NOËL
- Écrit par Robert CABIÉ
- 2 222 mots
L'Église a accepté cette expression de la joie et de la piété des fidèles, tout en rappelant que le « mystère » de Noël doit s'éclairer à la lumière de Pâques. On appelle « temps de Noël » la période qui va du 25 décembre au dimanche après l'Épiphanie.
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NOËL LÉON (1888-1987)
- Écrit par Christian SAUVAGE
- 6 320 mots
- 2 médias
Né le 28 mars 1888 à Paris, Léon Noël est le fils d'un conseiller d'État. L'influence paternelle est manifeste : après des études de droit qui le conduiront jusqu'au doctorat, Léon Noël est reçu à son tour au Conseil d'État en 1912, à vingt-quatre ans. Auditeur en 1913, il deviendra maître des requêtes en 1924. Mais déjà le virus politique l'a saisi et il fréquente les cabinets ministériels.
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NOËL BERNARD (1930-2021)
- Écrit par Jacques JOUET et Encyclopædia Universalis
- 3 987 mots
Bernard Noël meurt le 13 avril 2021 à Laon (Aisne).
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NOËL GEORGES (1924-2010)
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 2 452 mots
Peintre informel, Georges Noël recourt à une calligraphie abstraite favorisant l'improvisation libre, voire une gestualité proche de l'automatisme. Né à Béziers en 1924, il s'initie aux techniques de la peinture et du travail sur bois auprès de son père. Il conduit des études d'ingénieur et consacre son temps libre à l'apprentissage du dessin et de la peinture.
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NOËL MARIE ROUGET dite MARIE (1883-1967)
- Écrit par Robert LOUIS
- 6 089 mots
Pourtant Marie Noël, avec Les Chansons et les heures (1920), Le Rosaire des joies (1930) et Les Chants de la merci (1930), rencontra la gloire sans l'avoir jamais recherchée. « Le poète, ce n'est pas moi, c'est Marie Noël », aurait reconnu la comtesse de Noailles. Henri Bremond constatait : « Parmi nos poètes [...] je n'en vois pas un que je préfère à Marie Noël.