Nomination

"nomination" dans l'encyclopédie

• CONVENTION ÉLECTORALE AMÉRICAINE

  • Écrit par Marie-France TOINET
  • 3 885 mots

  Pour être élu, tout candidat à la nomination doit obtenir la majorité absolue. Dans la plupart des cas, la nomination a été acquise au premier tour de scrutin. Le candidat n'est pas assuré pour autant du soutien unanime de son parti.

• NOM

  • Écrit par Françoise ARMENGAUD
  • 39 000 mots

  Pour Lévi-Strauss, la nomination n'est que la limite inférieure d'un système de classification. Quelles que soient les méthodes de nomination, que le nom « confirme par application d'une règle l'appartenance de l'individu qu'on nomme à une classe préordonnée » ou que le nom soit « une libre création de l'individu qui nomme et exprime au moyen de celui qu'il nomme un état transitoire de sa propre subjectivité », on ne nomme jamais à proprement parler ; on classe, on exprime, on signifie.

• DUVALL ROBERT (1931- )

  • Écrit par Encyclopædia Universalis
  • 3 270 mots

  Puis il écrit, dirige et joue le rôle principal dans The Apostle (1997, Le Prédicateur), projet de longue haleine qui lui rapporte sa troisième nomination pour l’oscar du meilleur acteur. Il va remporter ensuite la troisième nomination de sa carrière à l’oscar du meilleur second rôle masculin pour sa prestation dans A Civil Action (1998, Préjudice).

• WILLIAMS ROBIN (1951-2014)

  • Écrit par Encyclopædia Universalis
  • 2 178 mots

  Dès ses débuts au cinéma, il obtient des premiers rôles, comme dans Popeye (1980) et Le Monde selon Garp (The World According to Garp, 1982), mais son premier grand rôle est celui d’un militaire animateur de radio et irrévérencieux dans Good Morning, Vietnam (1987), qui lui vaut sa première nomination aux oscars. Sa deuxième nomination lui vient de son interprétation d’un professeur d’anglais inspiré et fou de littérature dans une école préparatoire, dans Le Cercle des poètes disparus (Dead Poets Society, 1989).

• CASTEX JEAN (1965- )

  • Écrit par Bruno DIVE et Encyclopædia Universalis
  • 8 542 mots
  • 1 média

  La nomination de ce Premier ministre, qui reste proche de Xavier Bertrand, a peut-être une autre mission, implicite celle-ci : continuer à fracturer la droite et à séduire son électorat. S’il démissionne de LR dès sa nomination à Matignon, celle-ci embarrasse visiblement ses anciens amis politiques qui peinent à trouver un angle d’attaque contre lui.