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Nuire

  • Verbe à l'infinitif

Définition

  1. causer du tort, léser
  2. représenter un danger

A la forme pronominale

  1. se causer du tort, se faire du mal

"nuire" dans l'encyclopédie

  • ENDOCARDITE

    • Écrit par François BOURNÉRIAS
    • 364 mots

    Toute lésion, notamment infectieuse ou inflammatoire, de l'endocarde et des valvules cardiaques ; c'est l'atteinte valvulaire qui détermine surtout la symptomatologie et les potentialités évolutives, c'est-à-dire la rapidité avec laquelle ces lésions vont indirectement nuire à l'activité du myocarde, entraînant de ce fait une insuffisance cardiaque progressive.

  • MANUEL, Épictète Fiche de lecture

    • Écrit par François TRÉMOLIÈRES
    • 3 465 mots

    Si au contraire tu penses que seul ce qui est à toi est à toi, que ce qui t'est étranger – comme c'est le cas – t'est étranger, personne ne pourra plus exercer une contrainte sur toi, personne ne pourra te forcer, tu ne feras plus une seule chose contre ta volonté, personne ne pourra te nuire, tu n'auras plus d'ennemi, car tu ne subiras plus de dommage qui pourrait te nuire.

  • THE PROBLEM OF SOCIAL COST, Ronald H. Coase Fiche de lecture

    • Écrit par Élodie BERTRAND
    • 6 218 mots

    Coase avance ici l'hypothèse que, quelle que soit l'allocation initiale des droits (de nuire ou d'être protégé des nuisances), des négociations directes portant sur ces droits vont se poursuivre, jusqu'à ce que soient épuisées toutes les possibilités d'échanges mutuellement avantageux. On atteint alors, par définition, une situation Pareto-optimale.

  • FESCENNINS CHANTS

    • Écrit par Alain LABROUSSE
    • 1 235 mots

    Horace affirme qu'ils devinrent si choquants qu'une loi interdisant le malum carmen (« chant maléfique », c'est-à-dire charme destiné à nuire) fut invoquée contre eux. On pensait que ces vers éloignaient le mauvais œil. C'est pourquoi quelques historiens anciens rapprochèrent ce nom de fascinum. En réalité, il dérive probablement de celui de Fescennia, une ville étrusque.

  • BANQUET À LA TREILLE

    • Écrit par Jean-Claude MARGUERON
    • 1 163 mots
    • 1 média

    Une composition rigoureuse, le sens de la nature, un modelé remarquable, la perfection du traitement des détails (le mobilier, la végétation) sans nuire à la vision globale de la scène font de ce bas-relief une des plus belles réussites de l'art assyrien.

Recherche alphabétique

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