Numa
- Nom masculin singulier
Définition
- en linguistique, langue du Monomotapa, ancien empire du sud de l'Afrique
"numa" dans l'encyclopédie
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FUSTEL DE COULANGES NUMA DENIS (1830-1889)
- Écrit par Raymond BLOCH
- 5 696 mots
D'origine bretonne, Fustel de Coulanges eut une carrière de professeur et d'historien. Après avoir été élève de l'École normale supérieure de la rue d'Ulm, il fut nommé membre de l'École française d'Athènes et, pendant son séjour en Grèce, dirigea des fouilles archéologiques dans l'île de Chio. De 1860 à 1870, il fut professeur à la Faculté des lettres de Strasbourg.
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LA CITÉ ANTIQUE, Numa Denis Fustel de Coulanges Fiche de lecture
- Écrit par Bernard VALADE
- 5 956 mots
Historien universitaire, Fustel de Coulanges (1830-1889) s'est attaché à introduire la rigueur, et d'abord le scrupuleux respect des textes, dans les études historiques. Après des études d'histoire ancienne et des thèses, soutenues en 1858, sur le culte de Vesta et sur Polybe, il fut nommé, en 1860, professeur à l'université de Strasbourg où son enseignement suscita un véritable engouement.
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FIDES
- Écrit par Jean-Paul BRISSON
- 3 550 mots
» Bien entendu, le crédit que fait l'historien romain (I, 20) au légendaire roi Numa de l'institution du culte de Fides n'a rien d'historique ; il n'en reste pas moins que cette brève mention exprime de façon très complète la théologie sous-jacente à ce culte. Remarquons tout d'abord que la divinité honorée ici ne se différencie en rien du concept que dénote le mot « fides » : le « respect contraignant de la parole donnée », sanctionné par le geste qui consiste à tendre sa main droite au partenaire ; c'est là précisément l'objet du culte institué par Numa.
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PONTIFES
- Écrit par Jean-Paul BRISSON
- 4 742 mots
« Numa nomma grand pontife Numa Marcius, fils de Marcius, l'un des sénateurs, et lui donna en dépôt une description très détaillée de toutes les cérémonies religieuses, des victimes, des dates, des temples qui convenaient pour les célébrer, et du lieu d'où il fallait tirer de l'argent pour subvenir à ces dépenses. Toutes les autres cérémonies du culte public ou privé étaient également soumises aux décisions du pontife, pour que le peuple sût à qui s'en rapporter, et qu'aucun détail des institutions religieuses ne fût bouleversé par oubli des rites nationaux et introduction de rites étrangers.
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MIZUNO TADAKUNI (1794-1851)
- Écrit par Paul AKAMATSU
- 4 508 mots
L'assèchement de l'Imba-numa était techniquement téméraire. Quant au regroupement des fiefs, si arbitraire qu'il fût, il préparait la modernisation administrative et fiscale qui allait se réaliser sous Meiji, de 1869 à 1873. Mais, sous les Tokugawa, ces mesures furent rejetées par les officiers du bakufu, parce qu'elles bouleversaient l'ordre établi.