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Officine

  • Nom féminin singulier

Définition

  1. local de pharmacie où sont élaborées les préparations
  2. péjorativement, endroit où se préparent des actions douteuses

"officine" dans l'encyclopédie

  • LÉMERY NICOLAS (1645-1715)

    • Écrit par Jonathan SIMON
    • 3 655 mots
    • 1 média

    Lors de son compagnonnage, Lémery vient à Paris où il travaille dans l’officine de Christophe Glaser, célèbre apothicaire et auteur en 1663 d’un Traité de la chymie dont Lémery reprendra de nombreuses préparations dans son ouvrage de 1675. Après quelques années passées à Montpellier, Lémery s’installe à Paris, rue Galande, où il ouvre sa propre officine en 1674.

  • BAUMÉ ANTOINE (1728-1804)

    • Écrit par Georges BRAM
    • 1 893 mots

    Baumé commence vers 1741 son apprentissage chez un apothicaire de Compiègne et le poursuit en 1745 à Paris dans l'officine du célèbre Étienne-François Geoffroy, dit Geoffroy l'Aîné (1672-1731). En 1752, il est reçu maître apothicaire. En 1757, il fonde avec Pierre Joseph Macquer (1718-1784), un cours de chimie et de pharmacie où il assure les démonstrations jusqu'en 1773, date de son élection à l'Académie des sciences dont il devient pensionnaire en 1785.

  • MAÎTRE DES HEURES DE ROHAN (1re moitié XVe s.)

    • Écrit par Nicole REYNAUD
    • 1 462 mots
    • 2 médias

    On sait seulement qu'il avait des attaches à Troyes, qu'il s'est installé à Paris vers 1415-1420 comme enlumineur dans une officine commerciale et qu'il apparaît vers 1420 au service des ducs d'Anjou. Il exécute alors, outre les Grandes Heures de Rohan, vers 1430-1435, trois autres livres d'heures d'une inspiration exceptionnelle : les Heures de René d'Anjou (Bibliothèque nationale), les Heures dites d'Isabelle Stuart (Fitzwilliam Museum, Cambridge, G.

  • CAVENTOU JOSEPH BIENAIMÉ (1795-1877)

    • Écrit par Georges BRAM
    • 1 569 mots

    À partir de 1826, Caventou, qui a été élu à l'Académie de médecine en 1821, fait partie du corps enseignant de l'École supérieure de pharmacie ; nommé en 1830 maître de conférences de chimie, puis en 1834 professeur titulaire de toxicologie, il va occuper ce dernier poste jusqu'à sa retraite en 1859, tout en dirigeant une officine pharmaceutique à Paris.

  • TRÉVIRES

    • Écrit par Paul QUENTEL
    • 1 517 mots

    Cependant, l'influence méridionale est nette sous les Flaviens, époque à laquelle s'est établie une officine de sculpteurs venus de la Narbonnaise. Les Trévires ont constitué l'État le plus important des pays belgiques. À l'époque gallo-romaine, ils furent primitivement « libres », c'est-à-dire dispensés du stipendium. Ils se soulevèrent cependant à plusieurs reprises contre Rome : en ~ 29, une révolte leur coûta la liberté ; sous Tibère (21), le Trévire Julius Florus s'allia à l'Éduen Julius Sacrovir ; en 69-70, c'est aux Lingons que s'allient les Trévires.

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