Ombrellaire
- Adjectif singulier invariant en genre
Définition
- en zoologie, relatif à l'ombrelle de la méduse
"ombrellaire" dans l'encyclopédie
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MÉDUSES
- Écrit par Yves TURQUIER et Odette TUZET
- 13 732 mots
- 7 médias
La larve planula, planctonique, donne naissance à une larve bitentaculée qui va se fixer sur le bord ombrellaire d'une méduse du genre Turritopsis, puis émigre dans sa cavité sous-ombrellaire où elle acquiert une deuxième paire de tentacules en croix sur la première et s'installe sur le manubrium de l'hôte. Elle s'insère son propre manubrium, très développé, dans la bouche de son hôte, aux dépens duquel elle vit en ectoparasite.
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CNIDAIRES
- Écrit par Andrée TÉTRY
- 7 045 mots
- 5 médias
Sous-ombrelle et ex-ombrelle sont contiguës au niveau du bord ombrellaire où se trouvent disposés les tentacules. La paroi de la méduse (ectoderme et endoderme) est identique à celle du polype. Mais des différences se manifestent dans la mésoglée. Elle reste mince dans le manubrium et dans les tentacules, mais elle s'épaissit considérablement dans l'ex-ombrelle et réduit donc la cavité gastrovasculaire.
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HYDROZOAIRES
- Écrit par Yves TURQUIER et Odette TUZET
- 12 352 mots
- 6 médias
Les méduses sont dites « craspédotes » ; elles montrent un diaphragme en iris, le velum, avec ouverture centrale ; tendu horizontalement, il oblitère l'ouverture de la cavité sous-ombrellaire. Cet ordre comporte deux sous-ordres : les Gymnoblastides qui sont coloniaux et ont été étudiés ci-dessus ; les Calyptoblastides qui sont des Hydraires arborescents chez lesquels la cuticule se sépare du corps et s'épaissit, donnant la périthèque.