Onze
- Nom masculin invariant en nombre
- Adjectif numérique cardinal
Définition
Employé comme adjectif
- adjectif numéral correspondant à dix plus un
Employé comme nom
- nombre entier suivant 10 et précédant 12
- onzième ("Louis XI")
- onzième jour du mois
Expressions autour de ce mot
- le onze tricolore : l'équipe de France de football
"onze" dans l'encyclopédie
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LES ONZE (P. Michon) Fiche de lecture
- Écrit par Michel P. SCHMITT
- 5 742 mots
Ceux qui suivent l'écrivain depuis vingt-cinq ans sont une nouvelle fois ravis d'être abusés par celui dont ils attendent le « grand livre » qui n'est même plus promis puisque l'auteur annonce une suite fragmentaire aux Onze. Reste le bonheur d'observer l'écrivain sur son chantier, fasciné par le destin d'un peintre lui-même absorbé par l'interrogation sur la personnalité de onze personnages impénétrables.
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URSULE sainte (IIIe s.?)
- Écrit par Jacques DUBOIS
- 1 962 mots
On en compta onze, puis onze mille, par une erreur d'interprétation des chiffres romains. Enfin, vers 970 parut la légende. Fille du roi de Grande-Bretagne, Ursule est demandée en mariage par le fils d'un roi barbare. La proposition est acceptée, Ursule aura dix compagnes, chacune escortée de mille vierges. Pendant qu'on construit les bateaux, elles apprennent la navigation.
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MONZÓN CARLOS (1942-1995)
- Écrit par Neil Francis MILBERT et Encyclopædia Universalis
- 1 459 mots
En 1988, Monzón est condamné à onze ans de prison pour le meurtre d'Alicia Muñiz, son ancienne compagne et la mère de son fils. Alors qu'il regagnait la prison après une autorisation de sortie accordée pour un week-end, Monzón perd le contrôle de son véhicule et quitte la route. Il meurt ainsi le 8 janvier 1995, à Santa Rosa de Calchines.
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APPERT NICOLAS (1749-1841)
- Écrit par Christian GAUSSEN
- 1 870 mots
Fils d'aubergistes de Châlons-sur-Marne, Nicolas Appert quitte sa famille à onze ans pour apprendre le confisage (art de conserver par l'acide, la graisse, le sucre ou le sel), d'abord par la pratique dans les caves à champagne, puis dans une brasserie. Élève officier de bouche à la cour de Rhénanie, il approfondit ses connaissances sur l'alimentation.
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MOTOORI NORINAGA (1730-1801)
- Écrit par René SIEFFERT
- 3 749 mots
D'une famille de gros marchands de cotonnades, il perd à onze ans son père, à vingt-deux ans son beau-frère, à qui il succède à la tête des affaires de sa maison, mais il ne s'y intéresse guère. Aussi sa mère l'envoie-t-elle étudier la médecine à Kyōto, en 1752. Il entreprend parallèlement l'étude des classiques confucéens, puis de la littérature japonaise ancienne.