Opéras-comiques
- Nom masculin pluriel
Définition
- opéras qui comportent des parties chantées et des parties parlées
"opéras-comiques" dans l'encyclopédie
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OPÉRA-COMIQUE
- Écrit par Marc VIGNAL
- 3 186 mots
- 1 média
Mis à part les vaudevilles et autres mélodies empruntées formant l'essentiel du contenu musical de ces premiers opéras-comiques, dont les premiers fournisseurs de livrets sont Lesage, Piron et surtout Favart, apparaît très vite une part de musique originale, qui augmente avec les années, mais dont beaucoup d'auteurs resteront anonymes. En 1752, la représentation par une troupe de comédiens italiens de La Servante maîtresse (La Serva Padrona) de Pergolèse suscite la fameuse querelle des Bouffons et, d'une façon générale, un enthousiasme pour l'opéra bouffe qui signifie la fin du vieil opéra-comique en vaudevilles.
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LEO LIONARDO ORTENSIO SALVATORE DE LEO dit LEONARDO (1694-1744)
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 1 537 mots
Si ses opera seria souffrent d'une certaine froideur et de la sévérité de leur style, Leonardo Leo fait preuve d'un sens de l'humour acéré dans ses opéras-comiques. Leonardo Leo meurt le 31 octobre 1744, à Naples.
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DELIBES LÉO (1836-1891)
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 2 030 mots
Il étudie au Conservatoire de Paris auprès d’Adolphe Adam, compositeur d’opéras-comiques et de ballets. Recruté au Théâtre-Lyrique comme pianiste accompagnateur en 1853, il occupe le poste de deuxième chef de chœur à l’Opéra de Paris à partir de 1864. Nommé professeur de composition au Conservatoire en 1881, il devient membre de l’Institut trois ans plus tard.
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SÉVERAC DÉODAT DE (1872-1921)
- Écrit par Philippe BEAUSSANT
- 641 mots
Ses opéras-comiques nous mènent l'un dans le Lauraguais (Le Cœur du moulin, 1903-1908), l'autre à Béziers (Héliogabale, 1910) ; ses poèmes symphoniques et surtout ses pièces pour piano (Le Chant de la terre, 1900 ; En Languedoc, 1904 ; Baigneuses au soleil, 1908 ; Cerdaña, 1910-1911) sont d'une écriture forte et charpentée comme celle de son maître, mais où se décèle une subtile influence debussyste.
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HÉROLD FERDINAND (1791-1833)
- Écrit par Marc VIGNAL
- 709 mots
Compositeur d'opéras-comiques né et mort à Paris. Hérold prend d'abord des leçons de son père, qui a lui-même travaillé avec Carl Philipp Emanuel Bach. Grand prix de Rome de 1812, il donne des leçons, à Naples en 1813, aux filles du roi Murat. De retour à Paris après avoir visité l'Autriche, l'Allemagne et la Suisse, il collabore avec Boieldieu pour Charles de France ou Amour et gloire (1816), tandis que le succès boude ses propres œuvres.