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Ophicléide

  • Nom masculin singulier

Définition

  1. en musique, instrument à vent, en cuivre et à embouchure, comportant des clés

"ophicléide" dans l'encyclopédie

  • OPHICLÉIDE

    • Écrit par Josiane BRAN-RICCI
    • 2 612 mots

    L'ophicléide ne fut pas abandonné brusquement, il resta au contraire en honneur dans les harmonies et autres formations populaires en France, en Italie, jusqu'à la fin du xixe siècle. À partir de 1850 environ, les parties d'orchestre écrites pour l'ophicléide ont été confiées au tuba, bien que son caractère et son volume sonores soient très différents de ceux de son prédécesseur.

  • CLAIRON

    • Écrit par Encyclopædia Universalis
    • 3 486 mots

    En France, il a inspiré l'ophicléide, sa version grave. Des pistons ont été installés sur le même clairon à une boucle au cours des années 1820, le nouvel instrument conservant l'ancien nom de Flügelhorn ou bugle. Il est en si bémol et reste le principal instrument aigu de la famille des cuivres dans les musiques militaires et les fanfares européennes.

  • TUBA

    • Écrit par Eugène LLEDO
    • 6 221 mots
    • 4 médias

     Schuster, dont la facture est inspiré de l'ophicléide (une basse du clairon pourvue de clés). Styles musicaux Dans la musique savante, l'importance du tuba est grande au sein de la section des cuivres. Dans son Grand Traité d'instrumentation et d'orchestration modernes (1843), Hector Berlioz déclare à propos du tuba basse : « Le bass-tuba très répandu aujourd'hui dans le nord de l'Allemagne, à Berlin surtout, a un immense avantage sur tous les autres instruments graves à vent.

  • CHORALE MUSIQUE

    • Écrit par Jacques CHAILLEY et Encyclopædia Universalis
    • 17 053 mots

    l' ophicléide) ; d'autre part, pour les offices les plus solennels, il adjoignit au plain-chant usuel des morceaux de « musique figurée » polyphonique, où la participation instrumentale, fort variable, semble ne pas avoir été totalement exclue, tout en restant généralement modeste et peu attestée avant le xviie siècle. La Messe de Guillaume de Machaut (xive s.

  • VENT INSTRUMENTS À

    • Écrit par Pierre-Paul LACAS
    • 35 465 mots
    • 22 médias

    Le serpent, contrebasse du cornet, accompagna sous le nom d' ophicléide (serpent à clés) le plain-chant jusqu'en 1925 dans certaines églises françaises. Wagner (Rienzi, 1842), Verdi (Les Vêpres siciliennes, 1855), après Mendelssohn (Ve Symphonie), l'utilisèrent encore comme cuivre-basse. En France, la symphonie instrumentale dans la musique religieuse pouvait, en plus des cordes, comprendre des flûtes, parfois un hautbois ou un basson, à quoi s'ajoutaient, pour le grand motet avec violoncelles et contrebasses, des trompettes, des cors, des trombones et des timbales.

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