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Outrageusement

  • Adverbe

Définition

  1. excessivement

"outrageusement" dans l'encyclopédie

  • KLAMMER FRANZ (1953- )

    • Écrit par Pierre LAGRUE
    • 581 mots

    Spécialiste de la descente, Franz Klammer remporte cinq fois la Coupe du monde de la spécialité (1975, 1976, 1977, 1978 et, une dernière fois, en 1983), qu'il domine outrageusement durant la seconde moitié des années 1970, s'adjugeant vingt-quatre victoires. Il s'est notamment imposé à quatre reprises à Kitzbühel. En 1974, il est vice-champion du monde de la discipiline, battu par son compatriote David Zwilling.

  • ULĀN-BĀTOR, ULĀN-BĀTAR ou OULAN-BATOR

    • Écrit par Françoise AUBIN
    • 2 197 mots
    • 2 médias

    De la vieille ville, il est resté, après les persécutions religieuses des années 1930, le monastère Gandan qui a retrouvé en 1972 sa destination première d'université lamaïque ; tout proches se trouvent un temple de style tibétain, qui a été restauré en 1972-1973, le Megžit-žan-rai-seg et les deux monastères-palais de style chinois, outrageusement décorés, que le huitième et dernier Bouddha Vivant ou Bogdo-Gegen fit construire au début du xxe siècle pour lui-même et son frère, Čoijin-lama, et que le gouvernement a convertis en musées de l'art religieux.

  • 1963 14e Championnat du monde de formule 1

    • Écrit par Pierre LAGRUE
    • 2 056 mots

    Mais Jim Clark va outrageusement dominer la saison, s'adjugeant sept succès en faisant en toute circonstance étalage de son talent. Il s'impose sous des trombes d'eau le 9 juin à Spa-Francorchamps, ridiculise ses concurrents le 30 juin à Reims et, à l'issue du Grand Prix d'Italie, qu'il gagne le 8 septembre à Monza, se voit déjà mathématiquement sacré champion du monde alors que trois courses sont encore inscrites au programme.

  • AUDRAN STÉPHANE (1932-2018)

    • Écrit par Alain GAREL
    • 3 495 mots
    • 1 média

    Ce n’est qu’à la cinquantaine qu’elle a la possibilité de jouer des personnages différents, comme la mégère de Coup de torchon de Bertrand Tavernier (1981) et la cuisinière peu loquace du Festin de Babette de Gabriel Axel (Babettes Gaestebud, 1987), voire laids, comme la belle-mère, outrageusement maquillée, du protagoniste de Paradis pour tous d’Alain Jessua (1982) et « la dame en gris » de Mortelle Randonnée de Claude Miller (1983).

  • PIERRE & GILLES

    • Écrit par Bénédicte RAMADE
    • 3 866 mots

    Toutes les pièces sont de surcroît uniques et marquées par le style du couple, profondément kitsch, outrageusement reconnaissable. « Pierre & Gilles » est devenu une marque autant qu'un style, jouant de la surcharge et du cliché. Couleurs trop vives, contours lissés, décors trop chargés, rôles surjoués : avec eux, une sainte est presque toujours une « vamp », une star du show-biz se transforme en voyou.

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