Oviparité
- Nom féminin singulier
Définition
- en zoologie, mode de reproduction d'un animal qui pond des œufs
"oviparité" dans l'encyclopédie
-
TÉLÉOSTÉENS ET HOLOSTÉENS
- Écrit par Yves FRANÇOIS et Pierre-Antoine SAINT-ANDRÉ
- 40 218 mots
- 20 médias
Oviparité et viviparité Chez les Poissons comme chez les autres animaux, les relations entre les œufs fécondés et le géniteur maternel se présentent selon deux situations fondamentales. Dans l'oviparité, les œufs pondus sont fécondés et se développent hors de l'organisme maternel. Dans la viviparité, les œufs sont conservés dans l'organisme maternel ; ils y sont fécondés (fécondation interne) et leur développement s'y déroule plus ou moins longtemps.
-
REPTILES
- Écrit par Pierre CLAIRAMBAULT
- 21 901 mots
- 8 médias
La règle générale est l'oviparité, mais il existe des cas d'ovoviviparité (Lézard vivipare) et même de viviparité (Seps). Le cerveau présente une structure que l'on peut schématiquement tenir pour un stade intermédiaire entre celui des Vertébrés inférieurs et celui des Mammifères, en particulier au niveau des hémisphères cérébraux. Les tubercules bijumeaux (mésencéphale) n'ont plus le rôle prédominant qu'ils semblent encore jouer chez les Amphibiens.
-
INSECTES
- Écrit par René LAFONT et Jean-Yves TOULLEC
- 70 889 mots
- 36 médias
Le terme « insecte » a longtemps désigné tous les arthropodes à six pattes, mais cette définition a évolué au cours des années 1980. Le terme insecte au sens large a été remplacé par celui d'hexapode et les Insectes ne désignent plus qu'une classe au sein de la superclasse des Hexapodes qui regroupe, à côté des Insectes, les Protoures, les Collemboles et les Diploures.
-
OISEAUX
- Écrit par Michel CUISIN
- 47 830 mots
- 38 médias
Parmi les principaux caractères qui autorisent ce rapprochement, il faut signaler : la présence d'un seul condyle pour l'articulation du crâne, celle d'un os carré qui relie la mandibule au crâne, l'existence d'un seul osselet dans l'oreille moyenne (la columelle) ; en outre, la présence d'un « peigne » dans le globe oculaire, d'un noyau dans les globules rouges du sang et la quasi-absence de glandes dans la peau (exception faite de la glande uropygienne, sur le croupion) sont également des caractères communs aux reptiles et aux oiseaux ; il en est de même de l'oviparité.