Pâlir
- Verbe à l'infinitif
Définition
- blêmir
- devenir terne
- rendre terne
"pâlir" dans l'encyclopédie
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PĀLI LANGUE & LITTÉRATURE
- Écrit par Colette CAILLAT
- 26 302 mots
C'est l'époque où, à son tour, la Birmanie se familiarise avec la langue pāli, qu'elle n'utilisera pas seulement à des fins religieuses et qui sera l'un des facteurs de son unité. La littérature en pāli se répandra dans les populations thaïe et khmère, si bien que les langues mêmes des pays occidentaux de la péninsule indochinoise emprunteront au pāli une part non négligeable de leur vocabulaire.
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OVETT STEVE (1955- )
- Écrit par Pierre LAGRUE
- 744 mots
Spécialiste dudemi-fond, l'athlète britannique Steve Ovett eut à pâlir de l'étoile de son compatriote Sebastian Coe. Il devient néanmoins champion olympique du 800 mètres en 1980 à Moscou, devant Coe, pourtant favori. Ce dernier prend sa revanche sur 1 500 mètres, Ovett se faisant même souffler la médaille d'argent par l'Allemand de l'Est Jurgen Straub.
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HEGIUS ALEXANDER (1433 env.-1498)
- Écrit par Paul DIBON
- 1 669 mots
Agricola ou à Wessel Gansfort, la figure d'Hegius risque-t-elle de pâlir quelque peu. Plus que les recueils posthumes de Dialogues et de Carmina, édités par le fidèle J. Faber, l'influence « séminale » de ce recteur de Deventer (qui savait le grec et entendait l'inculquer à ses disciples) a retenu l'attention de l'historien. Ne fut-il pas, comme l'écrit J.
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HEINRICH VON MORUNGEN (mort en 1222)
- Écrit par Claude LECOUTEUX
- 3 265 mots
Nous l'apercevons à la fenêtre (VIII), appuyée au créneau ou dansant (XXIII), dans son lit que baigne le clair de lune (XXX) ; nous la voyons sourire, dévisager le poète, pâlir et rougir. Elle vit sous nos yeux, tout comme le poète qui est joyeux (IV), triste (XXIX), jaloux (XIa, 2), résigné (XVII), badin (XVII) ou courroucé (III, 3) ; il préfère brûler en enfer plutôt que de servir la dame plus longtemps.
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BROWN CARTER (1923-1985)
- Écrit par Hervé DELOUCHE
- 3 219 mots
C'est en 1959 que parut dans la Série noire un premier roman, À pâlir la nuit. À partir de Zelda la Douce, qui date de 1974, il fut publié uniquement dans la collection Carré noir, petite sœur de la Série noire consacrée à la réédition de certains de ses textes. Contrairement à ce principe, la plupart des livres de Carter Brown furent des inédits. Le dernier roman de Carter Brown, Faisans à foison, parut en septembre 1984.