Pèlerin
- Nom masculin singulier
Définition
- voyageur effectuant un pèlerin age, voyage de dévotion vers un lieu saint
- familièrement, individu, personne quelconque
- en zoologie, criquet migrateur ravageur des cultures
- en zoologie, grand faucon européen, de la famille des falconidés
- en zoologie, requin inoffensif de l'espèce la plus grande
"pèlerin" dans l'encyclopédie
-
PÈLERIN DE MARICOURT PIERRE (XIIIe s.)
- Écrit par Patricia RADELET DE GRAVE
- 7 983 mots
- 1 média
Dans cet ouvrage, il mentionne à plusieurs reprises les travaux de Pierre le Pèlerin de Maricourt.
-
PÈLERINAGES & LIEUX SACRÉS
- Écrit par Alphonse DUPRONT
- 125 289 mots
- 6 médias
Caractères externes mais collectivement signifiants d'une « aura » sacrale dans l'espace pèlerin : plus lointain est le pèlerinage, plus accusée la tension ou la conscience sacrale, et plus signifiante est la trace. Dans la sortie du chez soi pour un ailleurs autre que vit le pèlerin, il y a éclatement de l'espace quotidien, de même qu'il y a rupture avec le temps de chaque jour.
-
CHARTRES PÈLERINAGE DE
- Écrit par Olivier JUILLIARD
- 1 671 mots
L'un des plus importants sanctuaires français voués au culte marial, Notre-Dame de Chartres, considérable monument d'art et d'histoire, accueille chaque année plus de deux millions de pèlerins ou de visiteurs. Premier édifice religieux chrétien et siège d'un évêché au ive siècle, ce sanctuaire semble, dès le vie siècle, particulièrement consacré au culte de la Mère de Dieu.
-
PÉLERINAGE À LA MECQUE DU SULTAN DU MALI
- Écrit par Jean BOULEGUE
- 1 010 mots
En donnant à son pèlerinage à La Mecque une magnificence qui fit impression, notamment en Égypte, le sultan, ou mansa, du Mali, Musa, signifiait qu'il prenait place parmi les grands souverains du monde musulman. Le Mali avait été fondé environ trois quarts de siècle auparavant (une chronologie plus précise est impossible) par Sunjata Keyta, à partir du pays mandingue, situé sur le haut Niger.
-
RAYMOND IV dit RAYMOND DE SAINT-GILLES (1042-1105) comte de Toulouse (1088-1105)
- Écrit par Jean FAVIER
- 1 740 mots
Alors que tous les autres barons de la croisade étaient depuis longtemps dotés ou repartis pour l'Occident, Raymond de Saint-Gilles finit par jeter son dévolu sur Tripoli, dont il occupa les abords (Tortose en 1102, Mont-Pèlerin en 1103) et put instituer le blocus. Il mourut en vue de la ville, qui ne devait être prise que quatre ans plus tard et dont ses successeurs devaient faire la capitale d'un comté.