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Pédonculaire

  • Adjectif singulier invariant en genre

Définition

  1. en botanique, qui concerne le pédoncule

"pédonculaire" dans l'encyclopédie

  • HALLUCINOSE

    • Écrit par François BOURNÉRIAS
    • 559 mots

    On la rencontre dans certaines circonstances physiologiques chez le sujet normal, notamment à l'endormissement ; en pathologie, elle accompagne les lésions de la calotte pédonculaire et l'intoxication alcoolique.

  • BRACHIOPODES

    • Écrit par Geneviève TERMIER et Henri TERMIER
    • 15 167 mots
    • 5 médias

    Le pédoncule disparaît et la valve pédonculaire est fixée soit par la surface du crochet, soit par des épines. On connaît de nombreuses superfamilles : Strophoménacés (Trémadoc IX-Permien XXVII), fixés par le crochet ; Productacés (Silurien XIV-Permien XXVII), fixés par des épines (Chonétidés : épines fixatrices le long de la charnière ; Productidés : épines fixatrices sur la valve ventrale).

  • HYPOTHALAMUS

    • Écrit par Paul LAGET
    • 31 384 mots
    • 5 médias

    Après ces trois grands faisceaux, d'autres moins importants méritent d'être signalés : l'anse pédonculaire, provenant de l'amygdale et du cortex olfactif ; la strie médullaire, petit faisceau allant de certains noyaux hypothalamiques antérieurs aux noyaux habénulaires, seule structure nerveuse de quelque importance du toit du diencéphale ; et, enfin, le faisceau de Vicq d'Azyr, qui réunit les corps mamillaires aux noyaux antérieurs du thalamus.

  • ÉPILEPSIE

    • Écrit par Henri GASTAUT et François MIKOL
    • 33 903 mots
    • 3 médias

    Les crises d'épilepsie Les crises épileptiques doivent d'abord être distinguées des autres variétés de crises cérébrales, c'est-à-dire, essentiellement : – des crises cérébrales anoxiques qui résultent de la dépression soudaine, sous l'effet d'une anoxie transitoire, des fonctions d'une population de neurones ; parmi ces crises, qui ressemblent étrangement à certaines crises épileptiques, bien que résultant d'un mécanisme opposé (une paralysie de fonction des neurones au lieu d'une décharge excessive), les plus fréquentes sont dues à une anoxie cérébrale généralisée après interruption de la circulation cérébrale (ischémie) ; on les appelle syncopes ou lipothymies ; – des crises cérébrales psychiques, qui représentent un mode de résolution somatique paroxystique d'un conflit psycho-affectif actualisé ; les plus habituelles sont les crises d'hystérie et les crises d'angoisse ; – des crises hypniques, aussi bien celles qui engendrent le sommeil (narcolepsie) que celles qui sont engendrées par le sommeil (crises somnambuliques), et d'autres encore qui sont seulement liées au mécanisme du sommeil (crises d'hallucinose pédonculaire, crises de cataplexie) ; – des crises toxiques ou toxi-infectieuses, qui résultent d'une intoxication médicamenteuse accidentelle ou d'une toxi-infection ; – des crises métaboliques, survenant à l'occasion des désordres biochimiques qui accompagnent certains troubles du métabolisme (hypoglycémie, tétanie, insuffisance hépatique et rénale, etc.

  • NEUROLOGIE

    • Écrit par Raymond HOUDART, Hubert MAMO, Jean MÉTELLUS et Encyclopædia Universalis
    • 166 461 mots
    • 8 médias

    Entré dans la langue française aux environs de 1690 sous la forme, aujourd'hui caduque, de « névrologie », le terme de neurologie, utilisé à partir de 1732 pour désigner la branche de la médecine qui étudie l'anatomie, la physiologie et la pathologie du système nerveux – et principalement du cerveau –, reçut sa consécration officielle de Jean Martin Charcot lorsqu'il fonda en 1880 les Archives de neurologie.

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