Périvasculaire
- Adjectif singulier invariant en genre
Définition
- en médecine, qui entoure les vaisseaux
"périvasculaire" dans l'encyclopédie
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VIRCHOW RUDOLF (1821-1902)
- Écrit par Jacqueline BROSSOLLET
- 3 086 mots
- 1 média
Il décrit l'hyperleucocytose sanguine, le phénomène de l'embolie (et lui donne ce nom en 1848), l'espace périvasculaire (espace de Virchow-Robin) et la nature cellulaire de la substance cérébrale interstitielle qu'il nomme neuroglia (1856) ; il s'intéresse également à l'étude des tumeurs du système nerveux central, des anomalies congénitales du crâne, des méningites, ainsi qu'à la médecine sociale.
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CHLOROPLASTES
- Écrit par Paul MAZLIAK
- 4 754 mots
Autour des nervures (faisceaux cribro-vasculaires) des feuilles, de grandes cellules serrées, sans méat, forment le parenchyme (ou la gaine) périvasculaire épais de une (cas fréquent) à trois couches de cellules. Entre ces gaines périvasculaires on trouve un mésophylle foliaire parenchyme chlorophyllien très riche en espaces libres, sans orientation dorsiventrale marquée.
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GUILLAIN-BARRÉ SYNDROME DE
- Écrit par Jean-Yves MÉAR
- 5 257 mots
Sur le plan anatomique, les lésions retrouvées intéressent de façon diffuse les racines et les nerfs périphériques qui sont le siège d'infiltrats inflammatoires aspécifiques de siège périvasculaire, associés à un important œdème. Y font suite des lésions de démyélinisation segmentaire respectant en règle l'axone (ce qui explique la réversibilité sans séquelle du syndrome).
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PHOTOSYNTHÈSE
- Écrit par Jean LAVOREL, Paul MAZLIAK et Alexis MOYSE
- 56 607 mots
- 14 médias
La figure 12 schématise les 2 cycles réalisés, l'un dans les cellules du mésophylle, l'autre dans celles de la gaine périvasculaire. Ainsi l'ensemble du métabolisme photosynthétique du carbone se trouve réparti entre deux tissus dont les cellules ont une compartimentation enzymatique nettement diversifiée. De plus, le type C4 présente plusieurs variantes.
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VIRUS NEUROTROPES
- Écrit par Yannick SIMONIN
- 34 063 mots
- 5 médias
C’est le cas notamment de différents flavivirus – comme le WNV, celui de l’encéphalite à tiques (agent de la mononucléose infectieuse) ou encore celui de l’encéphalite japonaise – que l’on retrouve dans les corps de cellules neuronales résidant dans la corne antérieure de la moelle épinière, souvent associés à une inflammation périvasculaire marquée.