Péroné

"péroné" dans l'encyclopédie

• PÉRON FRANÇOIS (1775-1810)

  • Écrit par Jacqueline GOY
  • 3 088 mots

  Ainsi, François Péron apparaît comme le grand précurseur des recherches entreprises depuis le début du xixe siècle.

• PERÓN EVA (1919-1952)

  • Écrit par Gérard PONTHIEU
  • 901 mots
  • 1 média

  D'origine modeste, María Eva Duarte, dite Evita, est actrice et speakerine de radio lorsqu'elle épouse, à l'âge de vingt-cinq ans, le président de la république Argentine, Juan Domingo Perón. Elle assistera celui-ci avec un enthousiasme passionné dans sa propagande en faveur du « justicialisme ». Son ascendant sur le peuple a pu être considéré comme l'un des phénomènes les plus remarquables et les plus étonnants de l'histoire contemporaine.

• PERÓN JUAN DOMINGO (1896-1974)

  • Écrit par Romain GAIGNARD et Encyclopædia Universalis
  • 7 627 mots
  • 2 médias

  Le grand dessein de Perón a trop tardé à se réaliser pour que l'histoire ait retenu l'image de pacificateur qu'il voulait lui léguer.

• JONQUET ROBERT (1925-2008)

  • Écrit par Pierre LAGRUE
  • 2 010 mots

  Il fut donc de « l'épopée de Suède », mais ne put aller au bout de l'aventure : sérieusement blessé par le Brésilien Vava (on diagnostiquera une double fracture du péroné) en demi-finale, alors que le score était de 1-1, il termina le match à... l'aile gauche (à l'époque, le remplacement d'un joueur blessé n'était pas autorisé). Qui sait si, avec un Robert Jonquet en pleine possession de ses moyens, la supériorité des Brésiliens de Pelé eut été si évidente (5-2) ? Il mit fin à sa carrière internationale en 1960, à sa carrière de footballeur en 1962.

• 1962 7^e Coupe du monde de football

  • Écrit par Jean DURRY
  • 4 962 mots

  Dans le groupe 2, à Santiago, après des matchs très violents contre l'Italie (0-0), la Suisse (fracture du péroné de Norbert Eschmann, 2-1), le Chili (2-0), l'Allemagne, emmenée par son avant-centre Uwe Seeler, et le Chili (qui bat la Suisse 3-1, après avoir joué et gagné 2-0 le 2 juin contre l'Italie un match disputé dans un climat rendu détestable par le comportement des supporters locaux) passent le cap.