Pétaloïde
- Adjectif singulier invariant en genre
Définition
- en forme de pétale
"pétaloïde" dans l'encyclopédie
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SCITAMINALES ou ZINGIBÉRALES
- Écrit par Jacques MIÈGE
- 11 186 mots
- 4 médias
Les trois autres ont un androcée pétaloïde comportant une seule étamine et des graines pourvues de périsperme : les Zingibéracées sont des plantes aromatiques à feuilles ligulées, à anthères biloculaires, à sépales unis ; les Marantacées et les Cannacées ne présentent pas ces caractères et s'opposent par leurs loges ovariennes uniovulées ou pluriovulées.
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ARISTOLOCHIALES
- Écrit par Chantal BERNARD-NENAULT et Jacques MIÈGE
- 8 129 mots
- 2 médias
Il est souvent grand et pétaloïde. Des nectaires sont présents dans le tube périanthaire. L'androcée compte entre 3 et 40 étamines ; généralement au nombre de 6 (aristoloches) ou de 12 (asarets), elles sont disposées sur une ou deux rangées. Elles sont libres ou soudées à la base des filets ou encore unies à la colonne stylaire en un gynostème. Les grains de pollen sont soit inaperturés, soit monosulqués (Saruma), soit multi-aperturés.
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GÉRANIALES
- Écrit par Louis LIBEN
- 9 823 mots
- 3 médias
Les fleurs solitaires portées par de longs pédicelles sont nettement zygomorphes : le calice comporte deux sépales antérieurs et trois sépales postérieurs, soudés par leur base, dont le médian se prolonge par un éperon creux, pétaloïde ; la corolle comporte trois pétales antérieurs onguiculés, élégamment frangés à la base du limbe, et deux pétales postérieurs dépourvus d'onglets et de franges.
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CENTROSPERMALES
- Écrit par Chantal BERNARD-NENAULT
- 11 708 mots
- 7 médias
Chez certaines, les fleurs à périanthe pétaloïde sont groupées en une cyme condensée entourée de bractées. Chez M. Jalapa (belle-de-nuit), cette cyme se réduit à une seule fleur dont les bractées figurent un calice et le périanthe une corolle. Les fleurs des pourpiers et des Basellacées, avec leurs deux sépales, s'expliqueraient de la même façon. Le pistil est typiquement supère, parfois semi-infère (Cactacées, quelques Aizoacées).
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OURSINS
- Écrit par Andrée TÉTRY
- 24 077 mots
- 4 médias
Les zones ambulacraires présentent un aspect pétaloïde. La plaque madréporique occupe presque tout le calice. Cette lignée est connue depuis le Sénonien jusqu'à la période actuelle. Elle comprend plusieurs familles : Échinocyamides, formes primitives de petite taille (Echinocyamus pusillus, espèce européenne qui vit dans le maërl de la Manche et en Méditerranée) ; Clypéastérides (une douzaine d'espèces actuelles) ; Laganides, formes plates vivant dans le Pacifique et l'océan Indien ; Scutellides, de formes très plates (certains genres possèdent des digitations et des perforations ou lunules : Encope avec cinq encoches radiales, Mellita avec cinq lunules dont quatre radiales).