Pages-son

"pages-son" dans l'encyclopédie

• PAGÈS BERNARD (1940- )

  • Écrit par Servane ZANOTTI
  • 2 796 mots

  « La sculpture est d'abord pour Pagès un agencement de techniques, une réserve d'inventions qui se donne à voir », écrit Xavier Girard dans le catalogue de l'exposition, organisée à la Galerie d'art contemporain des musées de Nice, en 1981. Dans la série des Colonnes commencée en 1980, Pagès continue d'explorer « tous les possibles de la sculpture » (D.

• PAGÈS JEAN (1903-1976)

  • Écrit par Guillaume GARNIER
  • 3 676 mots

  La carrière cosmopolite de Jean Pagès, illustrateur et artiste décorateur, lui a permis d'exprimer ses talents dans des domaines variés. Célèbre par les illustrations qu'il a données pour le magazine Vogue, il est également l'auteur très apprécié d'architectures d'intérieurs aux États-Unis. Après une enfance écoulée à Versailles et des études d'architecture, Jean Pagès fait ses débuts comme illustrateur pour les magazines de mode publiés par les éditions Condé Nast, le Jardin des modes (1925) par exemple.

• GARNIER-PAGÈS LOUIS (1803-1878)

  • Écrit par André Jean TUDESQ
  • 1 390 mots

  Né à Marseille, frère d'un leader républicain qui fut député de la monarchie de Juillet, Garnier-Pagès a participé à la révolution de juillet 1830, mais s'est surtout livré à des activités de courtier de commerce jusqu'à la mort de son frère en 1841. Élu député de Verneuil dans l'Eure en juillet 1842, il siège dans l'opposition radicale et intervient dans des questions économiques et financières.

• PAGE GERALDINE (1924-1987)

  • Écrit par Encyclopædia Universalis
  • 3 182 mots

  En tant qu'actrice, Geraldine Page est respectée pour son intuition et sa créativité lorsqu'elle restitue des personnages souvent vulnérables et excentriques. À sa mort en 1987, elle joue encore à Broadway dans Blithe Spirit (L'esprit s'amuse). Son dernier film, My Little Girl, sortira quelques mois plus tard.

• PAGE WALTER (1900-1957)

  • Écrit par Encyclopædia Universalis
  • 2 914 mots

  Walter Page se forge une solide réputation de soliste, bien qu'il ne grave qu'un seul disque, Blue Devil Blues / Squabblin', en 1929. Sa formation accueille des solistes exceptionnels : Hot Lips Page, William (futur « Count ») Basie, Jimmy Rushing, Lester Young, Eddie Durham... À la fin de 1931, Walter Page est contraint, pour des raisons financières, d'abandonner la direction des Blue Devils, et il retourne chez Bennie Moten, où il reste jusqu'en 1933 (Toby/Moten Swing, 1932).