Pain
- Nom masculin singulier
Définition
- aliment à base de farine d'eau, d'eau et de sel, constituant une pâte pétrie, fermentée, puis cuite au four
- chaque unité de cet aliment ayant une forme particulière ("un pain rond", "un petit pain ") ou d'une composition particulière (" pain de seigle", " pain viennois")
- nom donné à certaines pâtisseries ou préparations culinaires (" pain d'épice", " pain de poisson")
- symbole de la nourriture ('gagner son pain ")
- au figuré, nourriture spirituelle
- masse d'une substance moulée (" pain de glace", " pain de savon")
- argotiquement, coup
Expressions autour de ce mot
- arbre à pain : arbre des régions tropicales de la famille des moracées, qui produit de gros fruits féculents, comestibles (artocarpe, artocarpus)
- c'est pain bénit : c'est bien fait, bien mérité
- pain d'épices : gâteau de farine de froment, miel, sucre, anis
- pain français : pain de forme allongée (Belgique)
- pain à la grecque : biscuit croquant recouvert de sucre cristallisé
- pain de sucre : piton de granite, dans les pays tropicaux humides
"pain" dans l'encyclopédie
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PAINE JAMES (1717-1789)
- Écrit par Jean-Pierre MOUILLESEAUX
- 575 mots
Architecte britannique, Paine poursuit la tradition britannique d'un palladianisme orné proche de W. Kent, sans être influencé par le renouveau de l'architecture grecque. Il bâtit de nombreuses demeures aristocratiques à la campagne : Mansion House à Doncaster (1745), Wardour Castle (1770), travaille à Kedleston (achevé par Robert Adam) et publie ses Plans, Elevations and Sections of Noblemen and Gentlemen's-Houses (1767).
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PAINE ou PAYNE THOMAS (1737-1809)
- Écrit par Ghislain de DIESBACH
- 4 208 mots
Après avoir été successivement valet de ferme, matelot, fabricant de corsets, comptable au Trésor, percepteur et surveillant dans un collège, Thomas Paine, à qui rien jusqu'alors n'a réussi, pas même le mariage, rencontre à Londres Benjamin Franklin et, muni de recommandations de ce dernier, s'en va tenter sa chance à Philadelphie. Il y arrive au début de la guerre d'Indépendance et, bien qu'Anglais, embrasse avec ardeur la cause des rebelles.
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PRAIRIAL AN III JOURNÉE DU 1er (1795)
- Écrit par Jean TULARD
- 1 825 mots
Le 12 germinal an III (1er avril 1795), la Convention est bloquée par une insurrection des faubourgs Saint-Marcel et Saint-Antoine aux cris de « Du pain et la constitution ! ». L'abolition du maximum a entraîné une hausse vertigineuse des prix : celui de la livre de pain ne cesse de monter. Les boulangeries distribuent avec difficulté deux cent cinquante grammes de pain par jour et par personne.
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PAUL saint (228 env.-env. 342) ermite
- Écrit par Jacques DUBOIS
- 1 883 mots
À l'heure du repas, un corbeau leur apporta un pain miraculeux, et Paul expliqua que, depuis soixante ans, il recevait chaque jour un demi-pain, mais que la ration était doublée à cause du visiteur. Se renvoyant l'honneur de rompre le pain, ils finirent par le partager en tirant chacun de son côté. Paul demanda à Antoine de l'ensevelir dans le manteau qu'il avait reçu de saint Athanase, le patriarche d'Alexandrie.
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CHRIST CORPS MYSTIQUE DU
- Écrit par Hervé LEGRAND
- 1 367 mots
, x, 1-6) — « Le pain que nous mangeons n'est-il pas communion au corps du Christ ? Puisqu'il n'y a qu'un seul pain, à nous tous nous ne formons qu'un seul corps » —, les chrétiens sont rattachés au corps personnel de Jésus, ressuscité et vivifiant. Ce corps, c'est l'Église, dont le Christ est la tête (corpus mysticum Ecclesiae cujus caput Christus est).
