Paléoanthropologue
- Nom singulier invariant en genre
Définition
- en paléontologie, spécialiste de l'étude des caractères anatomiques et biologiques de l'homme fossile
"paléoanthropologue" dans l'encyclopédie
-
DJEBEL IRHOUD SITE ARCHÉOLOGIQUE DE
- Écrit par Bernard VANDERMEERSCH
- 8 951 mots
- 1 média
De nouvelles recherches débutèrent en 2004, dirigées par le paléoanthropologue français Jean-Jacques Hublin, directeur du département d’évolution humaine à l’institut Max-Planck de Leipzig (Allemagne), avec la collaboration du paléoanthropologue marocain Abdelouahed Ben-Ncer. De nouveaux restes humains ont alors été mis au jour et la stratigraphie générale du gisement a été établie.
-
YANG ZHONGJIAN ou CHUNG CHIEN YOUNG (1897-1979)
- Écrit par Eric BUFFETAUT
- 3 615 mots
- 2 médias
Avec le paléoanthropologue Pei Wenzhong (1904-1982), il est le principal chercheur chinois au sein de l'équipe internationale qui travaille sur ce gisement et il publie une série d'articles sur la faune associée à cet homme fossile, ainsi que des études sur les mammifères tertiaires de Chine du Nord et sur les œufs d'autruches fossiles. Dans les années 1930, Yang Zhongjian s’intéresse de plus en plus aux vertébrés fossiles plus anciens et élargit le champ de ses recherches à d'autres régions de Chine.
-
HOMO LUZONENSIS ou HOMME DE CALLAO ou HOMME DE LUÇON
- Écrit par Dominique GRIMAUD-HERVÉ
- 8 546 mots
- 2 médias
Il y découvre, en 2007, un métatarsien (os du pied) de morphologie « bizarre, mais ne pouvant être rien d’autre que de l’homme », selon Florent Détroit, paléoanthropologue au Muséum national d’histoire naturelle de Paris. Puis, lors de la campagne de fouilles de 2011, ce sont onze pièces fossiles qui sont découvertes en quelques jours dans cette même zone : six dents, quatre phalanges (deux de main et deux de pied) et un fémur d’enfant.
-
CLADISTIQUE
- Écrit par Pascal TASSY
- 16 530 mots
- 4 médias
Par exemple, aucun paléoanthropologue ne s'aventurera à chiffrer la probabilité de l'élargissement du sacrum (un caractère lié à la bipédie) chez différentes espèces de primates hominoïdes aux alentours de dix millions d'années. En pensant que cette probabilité est très élevée et a dû apparaître un grand nombre de fois, on minorerait l'impact de ce caractère et sa signification phylogénétique.