Paléologue
- Nom singulier invariant en genre
Définition
- spécialiste des langues anciennes
"paléologue" dans l'encyclopédie
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MANUEL II PALÉOLOGUE (1348-1425) , empereur d'Orient (1391-1425)
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 1 886 mots
L'un des fils de Jean V Paléologue, Manuel fut désigné comme son successeur en 1373, après l'échec de la révolte suscitée par son frère Andronic IV contre son père. Manuel fut couronné empereur associé au trône en septembre 1373 et, en 1379, il aida son père à reprendre Constantinople, dont Andronic s'était emparé en 1376. Dans cette entreprise, Jean V et Manuel avaient bénéficié de l'aide turque et furent ainsi forcés de payer un tribut au sultan et de lui apporter une aide militaire.
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MICHEL VIII PALÉOLOGUE (1224-1282) empereur d'Orient (1261-1282)
- Écrit par Deno John GEANAKOPLOS et Encyclopædia Universalis
- 5 124 mots
Dès son accession au pouvoir, Michel VIII Paléologue se trouve dans une position précaire. Il est confronté à la rébellion des partisans des Lascaris en Asie Mineure et son empire est encerclé par des Latins désireux de reprendre le pouvoir. Baudouin II de Courtenay, dernier empereur latin de Constantinople, est particulièrement actif. Dans ses manœuvres pour recouvrer son trône, il noue une alliance diplomatique et matrimoniale avec Charles d'Anjou, le frère de Louis IX (Saint Louis).
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NICÉE EMPIRE DE
- Écrit par Encyclopædia Universalis
- 1 332 mots
En 1261, un général de Nicée, Michel Paléologue, reprit Constantinople et fonda la dernière dynastie d'empereurs byzantins sous le nom de Michel VIII Paléologue.
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CONSTANTINOPLE PRISE DE (1453)
- Écrit par Pascal BURESI
- 1 160 mots
- 1 média
Avec Constantin XI Paléologue, le dernier basileus, disparaît l'Empire byzantin. L'Empire ottoman se développe sur ses décombres. Cette conquête a un retentissement considérable dans tout l'Occident chrétien, mais elle ne suscite aucune réaction militaire ou politique. Contrairement à ce qu'on a longtemps affirmé, cette conquête ne fut pas une catastrophe.
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LANTINS ARNOLD & HUGO DE (déb. XVe s.)
- Écrit par Pierre-Paul LACAS
- 1 391 mots
) à Venise où il composa un motet, Christus vincit (1423), lors de l'intronisation du doge Foscari, et une chanson Tra quante regioni, pour le mariage de Cleofe Malatesta de Pesaro et de Théodore Paléologue (1420), fils de l'empereur de Byzance ; on connaît en outre de lui une trentaine d'œuvres (motets, chansons françaises et italiennes), dispersées dans des manuscrits italiens.