Palmas
- Nom féminin pluriel
- Verbe à l'indicatif passé 2e personne du singulier
Définition
- (mot espagnol) battement des mains rythmant la danse et le chant flamenco
Forme dérivée du verbe « palmer »
"palmas" dans l'encyclopédie
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PALMA DE MAJORQUE ou PALMA
- Écrit par Robert FERRAS
- 1 729 mots
- 1 média
Palma concentre les deux tiers des ressources hôtelières de l'île. Le boom économique n'a pas eu que des conséquences heureuses ; l'environnement a souffert : côte bétonnée de Santa Ponsa à l'Anenal, développement anarchique des quartiers périphériques. Toutefois, les vieux quartiers du centre, ceinturés par les boulevards périphériques, ont été préservés.
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DE PALMA BRIAN (1940- )
- Écrit par Frédéric STRAUSS
- 6 152 mots
- 1 média
Mais son chef-d'œuvre reste L'Impasse (1993), film de gangsters crépusculaire, traversé par une émotion mélancolique, déployant une majesté formelle et une ampleur qui prouvent que Brian De Palma a désormais sa place parmi les maîtres du cinéma. L'industrie hollywoodienne semble malheureusement ne savoir que faire de ce statut d'artiste. Condamné à répondre à des commandes, De Palma réalise Mission to Mars (2000), après le départ d'un réalisateur en désaccord avec le studio.
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PALMA RICARDO (1833-1919)
- Écrit par Michel BERVEILLER
- 6 187 mots
Certains, comme Riva Agüero de Osma, se sont autorisés de la querelle entre Palma et son successeur à la Bibliothèque nationale, le polémiste socialisant Manuel González Prada, pour porter l'œuvre du premier au crédit du conservatisme. D'autres ont accusé Palma de chauvinisme péruvien. Mais l'Espagnol Eugenio d'Ors semble avoir été plus près de la vérité quand il écrivait : « L'œuvre de Palma, en dépit d'apparences toutes superficielles, ne présente aucun caractère de nationalisme fermé.
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LE DAHLIA NOIR (B. de Palma)
- Écrit par Christian VIVIANI
- 5 588 mots
Le Dahlia noir de Brian De Palma paraît donc s'en tenir à l'enveloppe narrative ; il n'en constitue pas moins à l'heure actuelle, malgré la réussite de L. A. Confidential (1997, Curtis Hanson), l'adaptation la plus fidèle du roman d'Ellroy, bien que de nombreuses différences existent entre le livre et le film. Tenu par une matière solide, De Palma freine sa tendance à utiliser le scénario comme un prétexte, comme il l'avait fait dans Femme fatale (2002).
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LE FANTÔME DU PARADIS, film de Brian De Palma
- Écrit par Michel CHION
- 4 956 mots
Deux ans après sortait discrètement, dans la même tendance parodique et « gothique » que l'œuvre de De Palma, The Rocky Horror Picture Show, de Jim Sharman, film à petit budget devenu le « cult-film » par excellence, dont la projection devient un rituel auquel se joint le public, qui reprend en synchronisme des dialogues, des chansons ou des actions.