Palmelloïde

"palmelloïde" dans l'encyclopédie

• CHRYSOPHYCÉES

  • Écrit par Pierre BOURRELLY
  • 10 924 mots
  • 5 médias

  De nombreuses Chrysophycées monadoïdes peuvent perdre leurs fouets et s'entourer d'une gaine mucilagineuse homogène ou structurée ; elles appartiennent au type palmelloïde. Elles conservent leurs vésicules contractiles et peuvent se multiplier soit végétativement, soit par émission de zoïdes. Certaines espèces demeurent toute leur vie à ce stade, mais conservent la possibilité de donner des zoospores flagellées.

• XANTHOPHYCÉES

  • Écrit par Pierre BOURRELLY
  • 8 654 mots
  • 2 médias

  Dans le type palmelloïde, les cellules immobiles, libres ou fixées, solitaires ou coloniales, sont entourées de gelée ou portées par un pédicelle gélatineux ; ces cellules présentent toujours des vésicules contractiles (ordre des Hétéroglœales). Dans le type coccoïde, les cellules solitaires ou coloniales, immobiles, sans flagelle ni vésicule contractile, se multiplient par autospores ou zoospores (ordre des Mischococcales) ; ce type groupe à lui seul les deux tiers des genres et des espèces des Xanthophycées.

• THALLE

  • Écrit par Jean FELDMANN et Marie-Thérèse L'HARDY-HALOS
  • 21 623 mots
  • 5 médias

  Lorsque les cloisonnements s'effectuent dans toutes les directions, le thalle est massif, globuleux, à contour plus ou moins régulier ; il est dit palmelloïde lorsque les cellules s'entourent d'un mucilage commun (archéthalle des Cyanobactéries-Chroococcales). Si les cloisonnements successifs sont tous parallèles entre eux, le thalle est linéaire (archéthalle des Rhodophycées-Goniotrichales).