Parallélépipède

"parallélépipède" dans l'encyclopédie

• BIBLIOTHÈQUE DE SEINÄJOKI, Finlande (A. Aalto)

  • Écrit par Simon TEXIER
  • 934 mots

  Elle est composée d'un long parallélépipède accueillant, de part et d'autre d'un couloir, des salles de consultation et de lecture pour les enfants, ainsi qu'une salle des périodiques. Sur ce volume viennent se greffer la grande salle de consultation, en forme d'éventail et le comptoir de prêt de la bibliothèque. La salle est éclairée par une lumière venant du sud ; filtrée par des lamelles à l'extérieur, celle-ci se réfléchit sur les parois.

• HAÜY RENÉ JUST (1743-1822)

  • Écrit par Hubert CURIEN
  • 11 712 mots
  • 2 médias

  Le même raisonnement d'Haüy ne présente aucune difficulté tant que la molécule intégrante qu'on imagine pouvoir isoler par clivages successifs poussés jusqu'à la limite a la forme d'un parallélépipède : on peut alors en effet imaginer que l'on reconstruit le cristal en pavant entièrement l'espace, sans lacune, avec de tels parallélépipèdes jointifs.

• SANZA

  • Écrit par Geneviève DOURNON
  • 1 994 mots

  On a pu recenser une dizaine de types différents par la matière (bambou ou fer), par le nombre des touches (5 à 27 disposées sur un ou deux rangs) et par la forme du support qui peut être une simple plaque de bois, une calotte de calebasse, des rameaux de ronier assemblés, une caisse de résonance hémisphérique ou, plus fréquemment, en forme de parallélépipède dont les dimensions peuvent varier de 20 à 60 centimètres de côté.

• DÉS JEUX DE

  • Écrit par Thierry DEPAULIS
  • 6 013 mots
  • 2 médias

  À vrai dire, l'Inde, qui ne l'a pas oublié, continue d'utiliser ce parallélépipède pour nombre de ses jeux. On pourrait poursuivre cet inventaire et rappeler qu'il existe des dés à cinq ou sept faces (chez les Incas), voire plus, mais aussi des dés en forme de toupie, comme le toton, qui n'est qu'un prisme à quatre ou six faces traversé par un axe.

• JUDD DONALD dit DON (1928-1994)

  • Écrit par Béatrice PARENT
  • 3 313 mots

  Partant d'un module géométrique de base simple, le parallélépipède plein ou vide, Judd crée des structures en métal, fabriquées industriellement. Ces structures, dont les dimensions sont à l'échelle humaine, peuvent former des séries mais doivent être vues comme un tout, et sont présentées au sol, ou au contraire sur un mur, horizontalement, ou en « piles », du sol au plafond, selon une progression rigoureuse.